(NEW Chap. 119) En amour rien n'est impossible...

Chap. 1 : La rencontre...


Je m’appelle Marie, nous sommes en juillet mon amie Géraldine et moi avons décidé de partir quelques jours en vacances dans sa ville préféré LONDRES. Une petite semaine de vacances ne nous faisans pas de mal nous sommes parti nous détendre loin de tout. Choses non négligeable, LONDRES est la ville ou résident les membres du groupe Blue dont toute deux nous sommes fan.
Nous sommes arrivé sur place lundi dans la journée et nous avions trouvé une petite chambre dans une auberge de jeunesse, ce n’était pas le grand luxe mais l’important était de s’amuser. Arrivé à l’auberge, nous avons déposé nos affaires puis nous sommes allé nous rafraîchir un peu pour enlever les traces de se voyage en train qui nous à emmené jusqu’à là.
En fin d’après-midi après un peu de repos Géraldine m’a emmené faire un tour dans la ville même de Londres pour me montrer toute la beauté du pays. C’est vrai que même si la ville en elle-même me semblait plutôt grise ben c’était plutôt joli et marrant. On c’est balader pendant des heures à délirer comme des gamines, ensemble elle et moi c’était le bonheur.

G (Géraldine) : alors Marie le coin te plait ?
Moi : Oui c’est génial t’as eu une super idée, je pensais pas qu’il y avait autant de choses à voir ici.
G : Oui et tu n’as pas encore tout vu. Bon on va marcher jusqu’à se que l’on trouve un truc sympa pour manger se soir, et ensuite on continue notre balade et si tu veux on ira boire un verre dans un pub histoire de fêter la vie Londonienne.
Moi : Oui, ok pas de problème je suis le guide moi. On mange léger comme ça on pourra aussi danser.

On est donc allé manger, puis nous avons reprit le chemin de la poursuite de l’aventure. Vers 22 heures on c’est trouvé devant un pub dansant pour justement pouvoir se défouler et donc aller danser. Ont à prit un verre ensemble toute les deux on à discuté de choses et d’autres de nos amis (es) de coups de gueules que l’ont à parfois… Puis tout à coup G eu une idée complètement tirée par les cheveux.

G : Marie on va s’amuser… je te pari que t’es pas cap’ de te retourner et d’embrasser le premier mec que tu croise.
Moi : (la regardant avec une moue plutôt désapprouvant) Une chose est sûr c’est que tu n’y va pas par quatre chemins. Je vois pas ou cela va nous mené mais bon allons y comme ça au moins ça te prouvera que je ne suis pas la petite fille sage que tout le monde pense.
G : Ouais, Ouais… que des paroles je suis sûr que tu ne le feras pas. Allez là y tourne toi…
Moi : (la regardant toujours du même air, mais ne voulant pas me défouler) Ok !

Je me suis donc retourner et j’ai taper sur l’épaule de la personne derrière moi. De dos il avait une belle allure musclée de beaux cheveux et une belle silhouette.

Moi : S’il te plait j’ai fais un pari avec ma copine… et euh disons qu’en fait je dois t’embrasser toi, enfin le premier mec que je vois et le destin à fait que ça tombe sur toi… Désolé !
… : (L’homme se retourna en souriant) Oui bien sur !

Il se pencha vers moi mit sa main sur ma joue et commença à m’embrasser, un court mais doux très doux baiser.

... : Voilà c’est une chose faite !
Moi : Merci

Je me suis retourné pour retourner discuter avec Géraldine. J’avais le sourire aux lèvres.
Moi : Merci G ton pari était finalement une bonne idée… ce gars embrasse vraiment très bien ! Quoi que avec l’éclairage je n’ai même pas vu à quoi il ressemblait ! Dommage !
G : Oui c’est ça… mais dis donc je crois que tu à rien capter toi ! Tu sais qui tu viens d’embrasser ? Je crois que c’est un peu le sosie de Duncan ! Quand on dit que tout le monde à quelque part sur terre un double… ben je crois que c’est vrai ! Mince tu réalise pas ta chance toi où quoi ?
Moi : Ah bon ben non désolé j’ai pas remarquer que se type est le double de Duncan… mais effectivement c’est une chance.

G à alors quitter la table pour aller aux toilettes je suis donc rester seule à boire mon verre en pensant à se doux baiser. J’avais les mains sur la table et je tapotais du bout des ongles sur celle-ci au rythme de la musique qui passé dans le pub. Je sentis une présence derrière moi et je sentis une main se poser sur la mienne.

… : S’il te plait je peux m’asseoir ? J’aimerais bien en savoir un peu plus sur la jeune femme qui m’a embrassé tout à l’heure je crois que tu la connaît non ? (En rigolant)
Moi : Oui en fait je crois que c’est de moi que tu parle. Mais oui bien sûr que tu peux t’asseoir ça me fera un peu de compagnie en attendant que mon amie revienne. Mais c’est pas moi qui t’es embrassé c’est toi qui m’a embrassé.
… : (il prit place à côté de moi) Je peux savoir alors en quoi consister se pari qui m’a permis de te rencontré ? Et surtout à qui ais-je l’honneur ?
Moi : (Je le regardait d’un air amusé me disant que Géraldine avait raison et que effectivement il ressemblait beaucoup au chanteur Duncan JAMES) ben c’est pas compliquer, je m’appelle Marie et je suis ici que pour 5 jours en vacances. En fait je suis française, et en fait ma copine me disait que je ne suis pas cap’ de me retourné et d’embrasser le premier garçon qui se trouverait sur mon chemin. Voilà pourquoi tu as eu la malchance de m’embrasser…
… : Ah ben on pourra dire merci à ta copine alors ! Elle en à souvent des idées comme celle-là ? Parce que moi je suis preneur. Au fait moi c’est Duncan (en souriant)
Moi : (regardant d’un air surpris comme si j’avais pas bien entendu) Pardon ? C’est pas possible tu t’appel comment ?
Duncan : Duncan, Duncan JAMES je fais parti du groupe Blue tu vois ou pas ? Bizarre t’es l’une des rares filles qui ne me saute pas dessus en me voyant !
Moi : Sans rire c’est … enfin t’es bien qui tu dis que tu es ? Dire que Géraldine me disait que tu te ressemblais étrangement. Et pour être honnête en fait je suis dingue de votre groupe.
Duncan : Eh oui je suis bien ce pauvre type ! Lol mais c’est cool que tu m’es pas reconnu ça prouve que je peux encore de temps à autre sortir sans me faire remarquer. (Sur un ton ironique) Bon sur ceux je vais te laisser… je vais rejoindre les autres ils sont pas loin. Si ça te dit je viens avant de partir te dire au revoir ?
Moi : Oui bien sûr avec plaisir, et pas qu’à moi ! (Je ne décollais plus de mon petit nuage…)

Géraldine revint je lui racontait donc se qui m’étais arrivé elle eu du mal à le croire mais elle fini par admettre que cela pouvait être réel. Je lui expliquais que cependant je n’avais pas d’espoir de le revoir mais que cela restera un très beau moment. En fait je crois qu’il est encore mieux en vrai que sur toutes ces photos de magazine que j’ai pu voir. Je suis aller à mon tour aux toilettes, et j’en ais profité pour passer un coup de fil à une copine pour lui dire que j’étais bien arrivé et pour savoir si tout se déroulé bien pour les préparatifs de la petite fête que l’on avait prévu quelques jours après notre retour de Londres. Donc j’ai laissé Géraldine seule pendant un petit moment. Pendant mon absence Duncan est revenu à la table pour me dire au revoir comme il l’avait promis peu de temps auparavant, malheureusement je n’étais pas là, il commença à discuté avec Géraldine qui lui expliqua qu’elle ne voulait pas qu’il me fasse miroité de faux espoirs car j’étais une fille sensible. (Mon amie la grande protectrice) Ils discutèrent un peu plus en profondeur, et Géraldine découvrit que finalement Duncan avait plus de point en communs avec moi qu’on aurait pu le croire. Se qui le surprit lui aussi quelques peu. Après quelques instants il dû tout de même partir… et lui demanda que m’expliquer qu’il était désolé d’avoir du partir sans me dire au revoir et qu’il espérait que l’on pourrait se revoir un jour.
Quelques instants après son départ c’est moi qui suis revenu et Géraldine me mit au courant de son passage. J’étais un peu déçu sur le moment, mais intérieurement je me dis qu’il valait mieux faire une crois sur cette journée pour garder que les bons moments… et que de toute façon il était impossible qu’un jour nous nous retrouvions car le destins ne nous donnerait pas deux fois la même chance.
Après avoir discuté de tout cela avec Géraldine je me suis dis, qu’il fallait reprendre du poil de la bête…

Moi : G, il est bientôt 02 heures 30 minutes en fini nos verres on va encore un peu danser et on y va t’en penses quoi ?
G : Ca me va, je veux revoir un sourire sur ton visage… (Elle se leva et me prit la main) aller vient on va danser !
Moi : D’accord ça marche !

Toute les deux nous nous sommes dirigé vers la petite piste de danse, on à danser comme de petites folles comme on le fait souvent quand on va en boite. Le temps à passé très vite il était presque 04 heures et pourtant je n’étais pas fatiguée. Comme à notre habitude G et moi dansions en se tenant les mains de façon très enfantines en fait. A un moment je sentis des mains se posaient sur mes épaules, je me suis retourné avant que j’ai pu finir de me retourné quelqu’un demanda à G…

… : Ca te dérange si je danse un peu avec elle ?
G : Non du tout je voulais justement un peu m’asseoir. (Elle tourna les talons et lui fit un clin d’œil)

Je me tournais donc plus vers la personne qui était derrière moi et qu’elle fut ma surprise quand je vis que cette personne n’était autre que Duncan.

Moi : Mais… qu’est-ce que tu fais là ? Je croyais que tu étais parti !
Duncan : Oui comme tu dis… j’étais parti ! Mais je m’en suis voulu de ne pas t’avoir attendu pour te dire au revoir. Et puis même si on se connaît à peine ben j’aurais bien envie de te connaître mieux. Ca te dérange ?
Moi : Euh… non enfin… je vois pas trop se que tu veux connaître chez moi. C’est tout.
Duncan : Ben en fait en discutant un peu avec ta copine avant je me suis aperçu que nous avions pas mal de points en communs tout les deux. Et donc je me suis dis que se serais pas mal de finir la soirée ensemble.
Moi : Oui sauf que… il reste pas grand-chose de la soirée là ! Il est 04 heures et nous on va pas tarder à partir pour pouvoir visiter un peu la ville demain, et il n’es pas question que je laisse ma copine seul.
Duncan : Pas de problème jeune fille… Je vous raccompagne tout à l’heure et si t’es d’accord ben… et je peux vous accompagner demain une partie de la journée pour votre visite de la ville. Sans me vanter je pense être un meilleur guide que ta copine qui n’était ici qu’une fois !
Moi : Moi ça me va… mais tu sais c’est pas la peine de vouloir être gentil avec moi dans 4 jours on se verra plus jamais. Donc si t’as autre choses à faire ben c’est pas grave.
Duncan : Mais qu’est-ce que tu veux que j’ai d’autres à faire ? Si je te dis que je vous accompagne c’est que je vais le faire. Et dis pas qu’on se reverra plus c’est pas bien de dire ça… on sait pas se que la vie nous réserve !
Moi : Oui, oui la vie mais tu sais ton destin tu le provoque donc voilà… moi je veux bien passer du temps avec toi, mais je ne veux pas que tu me fasse espérer des choses qui n’arriveront jamais.

Je savais que j’avais très envie de passé du temps avec lui, mais je savais aussi que je n’avais pas envie de m’attacher à lui parce que moi je devais rentré chez moi et sa vie et la mienne sont complètement différente. Il nous raccompagna donc et nous donna rendez-vous le lendemain devant le même pub pour faire une visite de la ville vers 16 heures. G et moi nous sommes rentré dans notre petite auberge, plus trop de temps pour dormir mais bon on à essayer d’en profité un maximum, debout 11 heures départ de l’auberge 12 heures prise d’un petit déjeuner sur une place londonienne. On a parlé de la soirée de hier avec G et elle me dit que se serait ridicule de pas profité de Duncan.

G : Marie tu sais c’est pas des trucs qui vont t’arriver tout les jours ! Alors profite de l’instant présent et t’en pis si tu le revoit plus dans 3 jours. Au moins t’auras profité un maximum du séjour.
Moi : Oui enfin je ne suis pas trop de cet avis. Je ne veux pas m’attacher à un truc qui est presque irréel, tu sais que je déteste souffrir. Alors je ne sais pas encore…
G : Profite… tu ne vis qu’une fois !

Nous avons donc reprit le chemin des visites… tout en discutant et en ne pensant à rien d’autres qu’à s’amuser. Après un moment de marche à travers la ville, nous nous sommes aperçu qu’une voiture nous pisté depuis un moment, nous avons trouvé cela plutôt marrant donc nous avons fait comme si de rien n’était nous disant que les anglais étaient plutôt bizarre. Finalement la voiture c’est arrêté et nous vîmes Duncan sortir de la voiture et prendre notre direction.

Duncan : Salut les filles ! J’ai un peu d’avance alors je me suis dis que de plutôt que de perdre du temps ben j’allais vous chercher. Je me suis dis que plutôt que de marcher toute l’après midi se serait plus sympa de vous faire visité les studio d’enregistrements. Vous en pensez quoi ?
G : Ouais se serait cool, c’est super sympa ! Je suis trop heureuse.

De mon côté j’étais plus septique et donc un peu à l’écart des deux autres. Mais je trouvais cela trop mignon de penser à nous comme ça.

Duncan : Mais… et toi Marie ! Euh c’est bien Marie ton prénom ? T’en penses quoi on ne t’entend même pas.
Moi : Oui c’est bien Marie que je m’appelle, c’est si dur à retenir ? Lol
Se que j’en pense ? Ben c’est pas mal comme idée. En plus je vois que cela fait super plaisir à Géraldine.
Duncan : Et à toi ? Ca te fais plaisir parce que sinon on va changer le programme. (Faisant tout pour que je me sente à l’aise et pour me faire plaisir.)
Moi : Mais non ça ira très bien ! (Me dirigeant vers Géraldine, et lui prenant le bras) Bon alors on y va ? On est là que quelques jours et j’aimerais autant en profiter.
Duncan : Oui chef pas de problème ! (Il accéléra un peu le pas pour être à coté de Géraldine et lui posé une question d’une voie basse) C’est une idée ou ta copine ne m’apprécie pas beaucoup ?
G : Non ! Au contraire… et c’est bien là le problème. Elle prend ces distances pour ne pas s’attacher à toi… parce qu’elle sait que c’est voué à l’échec sachant que nous repartons bientôt. Et je ne peux pas trop lui en vouloir.
Duncan : Hum… Ok ! Encore faut-il que je la laisse faire…
G : De quoi tu parles ?
Duncan : Rien laisse tomber mais merci de m’avoir dis tout ça. Je crois qu’elle et moi on va avoir une petite discussion tout à l’heure.

Nous sommes devant la voiture et il nous ouvrit les portières pour nous faire entré et prendre la route du studio ou l’attendait les autres membres du groupe.
Le trajet dura une petite quinzaine de minutes…

Très bon début, mais comme tu le dis dans ton titre, en amour rien est impossbile alors bon... croisons les doigts!!
La suite, je l'atend avec impatience!

Chap. 2 : Mise au point


Duncan nous emmena jusqu’au studio d’enregistrement ou tout les autres s’impatienter, car pour une fois comme le fit remarquer le reste du groupe plus tard Lee était présent mais pas Duncan.

Duncan : Salut les mecs ! Désolée du retard j’avais une petite promesse à tenir et je n’avais pas envie de passer pour un menteur… je vous présente Géraldine (la brune) et Marie (la blonde) deux petites française que j’ai eu la chance de rencontré hier soir.
Lee : Ah le fameux french kiss… (Faisant un clin d’œil à Duncan)
Duncan : (Sur un ton sec) Ferme là Lee ! C’est dingue que tu puisse jamais tenir ta langue toi.
Simon et Anthony : Eh du calme les deux gamins… enchanté les filles.
G et Moi : (faisant un signe de la main) Euh… oui pareillement.

Les garçons nous ont ensuite invité à nous asseoir pendant qu’il travaillé sur quelques nouveaux morceaux dont nous avons eu le privilège d’écouter quelques notes.
Plus tard….

Duncan : Bon les mecs ont fait une petite pause… je me propose pour aller chercher des cafés si ça vous dit ?
Tout le monde : Oui bonne idée…
Duncan : (Se dirigeant vers moi) Tu viens avec moi j’ai besoin d’un coup de main pour porter les cafés ?
Moi : Euh…
Duncan : C’était pas une question… c’était une affirmation. (Il me prit le Bras et me tira)
Moi : Eh mais doucement.

Il continua à avancer comme cela à vive allure, le long des couloirs du studio d’enregistrement. Puis tout à coup il s’arrêta et se mit face à moi.
Il prit un air sérieux et commença à parler…

Duncan : Bon écoute je sais pas se qui se passe dans ta tête, mais je prends du temps pour être avec toi-même si on se connaît pas… donc j’estime avoir le droit à un minimum d’intérêt tu penses c’est trop demander ?
Moi : Oh mais je t’es rien demander. (Puis un petit silence) C’est vrai j’ai pas étais sympa mais tu sais je mérite pas d’être connu. Et puis ça sert à quoi ?
Duncan : C’est bien de l’admettre c’est déjà un bon début. Mais d’où tu sors se délire tu mérite pas d’être connu ? Moi je trouve t’es une fille génial t’es naturelle et j’aime beaucoup ça chez toi !
Moi : Merci c’est gentille. (Un peu gêner de la situation)
Duncan : Mais non t’inquiète pas ! Je vais pas te mentir, je vais pas non plus te sortir un truc bidon sur les coups de foudre… mais tu sais même si je te connais pas ben j’ai envie d’apprendre à le faire…et une chose est sûr c’est que je n’es aucunes envie de te voir repartir pour la France dans quelques jours.
Moi : C’est bien de pas vouloir mentir…mais de toute façon mon départ n’est pas remit en question il n’es pas possible que je reste ici. Et puis de toute façon moi les coups de foudre j’y crois plus… et je crois que je n’y es jamais crus.
Duncan : Il ne Faut pas dire ça ! Mais je dois t’avouer que je préfère apprendre à t’aimer plutôt que de vivre un truc intense mais très éphémère. (Il se pencha vers moi et me prit dans ces bras.)
Moi : Oh oui le grand Amour… Génial ! (Sur un ton ironique)

Mais comme je me sentais bien dans ces bras, il sentais bon il était fort et je me sentais toute petite avec lui. J’aurais voulu que cet instant ne s’arrête jamais. Quand il lâcha prise il me dévisagea un petit moment comme pour lire une approbation dans mon regard… Puis je le voyais rapprocher son visage du mien et chercher mes lèvres jusqu’à se qu’il les es trouvé. A se moment là nous étions comme soudé. Ce baiser n’avait rien de comparable avec celui que nous avions échangé la veille dans se pub, celui-ci était provoqué par lui intentionnellement et encore meilleur que le précèdent. Ces lèvres étaient si douces que j’aurais voulu que ce moment dur toute la vie.
Après ce doux baiser, il reprit délicatement ma main dans la sienne et dit…

Duncan : Bon je crois que ces cafés ne sont toujours pas arrivés, et que les autres doivent êtres énervé. Mais j’en veux encore des baisers comme ça… (Avec un sourire en coin)
Moi : Oui des comme çà ! Aller en route pour le café…

A compter de se moment là, c’était comme si l’on m’avait greffer des ailes… j’avais l’impression d’être l’ombre de moi-même. Les cafés chercher, les choses mises au point, nous sommes retournés vers le studio ou nous attendait les autres.

Duncan et Moi : Voilà…. (En rigolant)
Lee : Mince, mec t’as abusé là… 45 minutes pour chercher de pauvres cafés !
Duncan : Si seulement tu savais te la fermer Lee… et t’es loin de tout savoir. Et tu devient lourd là frangin.(Se retournant et me regardant)
Lee : Ah oui, non c’est bon mec pas besoin de dessin tes yeux t’ont tromper… c’est passé un truc avant dans le couloir.
Duncan et les autres : (Se dirigeant vers Lee) Boit ou ton café pourrait te faire des misères…
Lee : ok pas de stress… mais tu sais que j’arrive toujours à tout savoir de toi… mon petit Dunki… et ça, (me regardant moi) ça ne fera pas exception.
Moi : « Ca » tu parles de moi là ?
Lee : Euh… oui mais faut pas t’en sentir offusqué mademoiselle. C’est juste que Don Juan n’a pas de secret pour moi…
Moi : Ouais, Ouais… ben on verra bien !
Duncan : (S’interposant entre Lee et Moi) Oh du calme vous deux ! Et toi Lee si tu continu c’est avec toi que je vais faire un tour dehors…
Lee : Mais avec plaisir (rigolant d’un air niais)
Duncan : LEE… STOP sinon ça va mal finir !

Histoire de calmer le jeu Simon intervint !

Simon : Hey les mecs ont doit encore bosser, donc s’il vous plait un peu de calme. En plus j’ai une idée… pour que l’on puisse passer une bonne soirée en compagnie de tes invités Dunc ont va finir notre boulot. Et les mesdemoiselles, si ça les dérangent pas elle vont aller je sais pas chez toi Duncan ou chez moi m’en fou.
G et Moi : Ouais style ont dérange ! (En rigolant)
Simon : Mais pas du tout aller c’est pas du tout le cas.
Duncan : Ouais en fait je crois que Simon à raison… je vais dire au chauffeur de vous conduire chez moi, nous ont ramènera des plats à manger et ont passera une soirée sympa pour tous apprendre à se connaître.
Moi : (Regardant Duncan) Moui bon soit… Mais c’est possible que le chauffeur nous emmène faire quelques courses ?
Duncan : Quels genres de courses ?
Moi : un truc dont j’ai très envie là maintenant. Et personne n’aime donc y’a pas de raisons qu’il y en ai chez toi.
Duncan : Quoi donc ?
Moi : Hum ben ça va te paraître bête, mais en fait j’ai très envie de jus de framboise j’adore ça !
G : Oui je confirme, elle adore et moi je trouve ça dégelasse. BEURK Elle en boirait des litres.
Lee : Oh mince… c’est Dunc au féminin ! Ce n’est pas vrai aussi mauvais goût que notre Dunki.
Duncan : Bon là il n’a pas tord… C’est dingue t’as les mêmes goûts que moi. Et pour ta gouverne du jus de framboise y’en à dans le frigo dans la porte. Impossible qu’il n’y en est pas puisque J’en raffole.
Moi : Ok merci c’est super sympa ! (M’approchant de lui pour lui déposer un petit baiser sur la joue)

Le chauffeur arriva, et nous deux nous sommes parti afin de laisser les autres travaillé.

G et Moi : Bon ben à tout a l’heure. Bosser bien !

Chap. 3 : Première nuit dans ces bras


Nous sommes donc parti toutes les deux, en direction de l’appartement de Duncan. Pendant se temps, au studio les garçons bossaient un peu sur leurs nouveaux titres et tout ceci fût interrompu par Lee… qui comme à son habitude voulu jouer au petit curieux.

Lee : Oh alors accouche Dunki, se passe quoi avec cette nana ?
Duncan : Eh oh, t’arrête un peu là c’est une fille je la trouve génial, marrante et l’essentiel c’est qu’elle me plait bien et que visiblement elle je ne lui suit pas indifférent…
Simon et Anthony : Mais…
Duncan : Mais… elles viennent toute les deux de France et repartent dans quelques jours.
Simon et Anthony : Oh dur mec !
Lee : Une de perdu dix de retrouvé… plutôt 100 dans ton cas.
Duncan : La ferme !
Lee : Mais tu sais que je rigole mec… on est amis ! C’est normal que je te chari !
Duncan : Le problème c’est que je n’est aucune envie de la voir partir. Mais je peux pas non plus lui faire « La déclaration » car je ne peux pas encore dire que je suis amoureux comment l’être en moins de 24 heures ?
Lee : Je crois que tu ne peux pas… mais passe un max de temps avec elle profite d’elle ! Si le feeling passe bien ben… tu avise et tu essai de la faire rester mais laisse toi le temps.
Duncan : Ok mec, c’est gentil… n’empêche petit service arrête de la prendre de haut comme ça. S’il doit se passer quelque choses je veux que vous l’acceptiez tous… Compris ?

Pendant se temps dans l’appartement de Duncan, G et moi-même venions d’arrivé. Nous étions stupéfaites par la grandeur et le style de son intérieur… vraiment magnifique. Nous avons fait un peu le tour, tout confort luxe tout en restant simple. Nous avons prit nos aises et nous sommes installé un verre à la main sur les canapés très relax.
Environs deux heures plus tard les garçons sont arrivés, G était en train de feuilleté des revus anglaises et moi je m’étais assoupis. Ils arrivèrent les bras chargés de nourritures et de bouteilles à boires.

Simon, Anthony, Lee et Duncan : Alors ont vous à manquez ?
G : CHUT…. Vous ne voyez pas qu’elle dort.
Lee : Yo, du calme la frenchi ont savaient pas nous… et puis y’a des chambres pour ça.
G : Mais arrête un peu toi, depuis que t’as rencontré Marie t’arrête as de la chambré.
Lee : Ecoute je crois que si je me souviens bien de la traduction… y’a un proverbe de chez vous qui dit… qui aime bien châtie bien ! Non ?
G : Oh mais t’as rien à aimer je crois… (Fière de la vanne qu’elle venait de sortir…)
Duncan : Elle à raison t’a rien à aimer ! Mon pote !

J’étais toujours assoupi sur le canapé, cela faisait une demi heure que les autres était arrivés et que je dormais toujours. Duncan se mit accroupi à coté de moi, et me caressa le bras pour me réveillé… en vint.

Lee : Attends Dunki tu sais pas t’y prendre pousse toi…
Duncan : Oublie j’ai une autre idée et je sais très bien à quoi tu pensais.
Lee : Ah oui ?
Duncan : Oui… (Il se pencha sur moi et déposa un baiser qui eu un tel effet qu’il me réveilla)

J’étais un peu étonné mais faut dire que c’était pas désagréable de se faire réveillé de cette façon. J’avais du mal à reprendre mes esprits… encore les séquelles de la courte nuit que j’avais passée, moi pauvre petite marmotte. En me relevant je vis que tout le monde était là et je détesté la sensation d’être observé comme ça. C’est pour cela que j’étais un peu grognon et donc de mauvaise humeur lorsque je me suis réveillé.

Moi : Pourquoi vous me regardez tous comme ça ? Vous avez jamais vu personne dormir ? (Je faisais mes yeux de grande boudeuse)
G : Doucement ne commence pas à râler mais les garçons sont arrivés avec des trucs à manger et il se trouve que tout le monde à faim. Conclusion je trouve que c’est pas une mauvaise idée que tu te réveille.
Moi : Non je veux pas, je veux encore dormir… Euh on mange quoi ? Parce que peu être que je pourrais dormir après mangé ? (Avec un sourire)
Duncan : Chinois ça te va ?

Je fis oui de la tête.

Lee : Tu vois quand je te dis que t’as trouvé ton double au féminin ! Je mentais pas… elle est aussi de mauvais poil que toi quand on la réveille. (Et il éclate de rire…)
Duncan : pour une fois je peux même pas lui donner tords. A croire que c’est ma bonne étoile qui t’envoie.
Moi : Au c’est beau la solidarité masculine…
Simon et Anthony : Bon assez avec vos enfantillages on pourrait pas manger parce que nous ont à les crocs.
G : (Me tirant par le bras) Aller viens on va mettre la table.

G et moi nous mirent la table en discutant un peu, elle me faisait remarquer de la chance que j’avais que Duncan soit tellement au petit soin avec moi. Cela me faisais rire parce qu’elle n’était même pas jalouse, alors que la personne qui m’a fait connaître le groupe Blue c’était bien elle.
En attendant à l’autre bout de la pièce, Lee et Duncan discutaient aussi.

Lee : Toute compte fait t’as raison elle est sympa et mignonne… en plus elle prend trop vite la mouche.
Duncan : Oui, oui j’ai remarquer t’aime bien l’embêter… mais attention de pas aller trop loin si elle à le même caractère que moi elle risque d’un jour se défendre.
Lee : Non mais tu crois j’ai peur… Arrête sérieux ! Ca te fait quoi quand tu l’embrasses ?
Duncan : Oula… écoute je sais pas c’est bizarre j’aime l’embrasser, mais je la vois et je ne voudrais qu’une chose la prendre dans mes bras. Et pourtant je sais que ce n’est pas un bébé.
Lee : Oh Dunki, tu tombes amoureux ? Non !!

Duncan s’approcha de Lee et le prit dans ces bras… comme deux frères. En me retournant et en les voyant j’ai trouver ça trop mignon.

G et Moi : Bon à table tout le monde !

Le repas se passa très bien, nous avons apprit à mieux connaître le groupe, j’ai trouvé cela très généreux de leurs part de se livrer comme cela à nous. Nous avons du passer plus de deux heures à table ainsi à discuté échangé des opinions des avis… ce fut fort sympathique.
Il commençait à se faire tard, G avait du mal à rester éveillé. Les autres avait envie de bouger. Duncan quand a lui n’avait pas envie de partir avec eux, et se leva alors et me prit la main en me faisant signe de le suivre. Il m’emmena sur la terrasse ou l’on avait une superbe vue sur Londres.

Duncan : (S’adossant au balcon) Alors la soirée t’a plut ? Je l’espère parce que moi j’ai été ravi de cette soirée, je pensais pas me sentir si bien avec une fille.
Moi : Euh… oui c’est un peu pareil pour moi tu sais ! (D’un air triste) Dommage qu’il ne nous reste que peu de temps. Mais bon c’est la vie on va profité des jours qu’il nous restes.
Duncan : Arrête j’aime pas quand t’es triste comme ça, il nous reste encore de belles journées à passé ensemble… ensuite on aura tout le temps de se poser des questions.
Moi : Oui peu être ! Tu sais j’aimerais que tu me prenne dans tes bras et que ça s’arrête jamais. (Puis j’ai tourner les talons pour aller rejoindre les autres)
Duncan : Reste là ! (M’attrapant et me serrant fort contre lui) Voilà suffit de demander !
Puis Lee vint pour interrompre se doux moment…
Lee : Dunk !
Duncan : LEEEEEEEEEEE (l’air agacé)
Lee : Dunk ! Calme faut je te dises un truc !
Duncan : Quoi, Merde tu ne vois pas que tu déranges !
Lee : Si je vois j’en suis désolé… mais la copine de la miss c’est endormi sur le divan et nous on aimerait y aller tu viens ?
Duncan : Ok, ben pas de soucis ! Allez y je vous retiens pas moi je reste ici. Rends moi juste un service mets un couverture sur Géraldine pour qu’elle n’est pas froid et vois si elle est bien couché pas qu’elle est mal partout demain.
Lee : Ah, parce qu’elles dorment là ?
Duncan : Ben à première vu oui…Marie ne va pas rentrer seule et on ne va pas réveiller Géraldine à cette heure-ci. Vous fermerez la porte en partant merci. Je t’appel demain matin… Mon petit sinon tu seras encore en retard.
Lee : Ouais c’est ça Ciao et parle pour toi.

Lee regagna le salon et fit se que Duncan lui avait demandé, ensuite Lee, Anthony et Simon partirent finir leur soirée ailleurs.

Duncan et moi sommes resté comme ça enlacé encore un moment sur le balcon, j’avais l’impression que la terre s’était arrêter de tourner et que cet instant durerait toujours.
Les instants on passé, et nous sommes resté comme ça figé dans le temps. Jusqu’à se que Duncan me prit la main et m’emmena dans sa chambre ou nous avons finit la soirée à discuté dans les bras l’un de l’autre, pour nous endormir ainsi enlacé. Le matin est venu nous étions toujours allongé sur le lit… Dunk en avait complètement oublié d’appeler Lee.
Furax Lee téléphona à Dunk pour lui signaler sont oubli et que part sa faute ils étaient tout les deux en
retard…

Au téléphone :

Lee : Mec t’as pas assuré je comptais sur toi et toi tu ne trouve rien d’autre de mieux que de me lâché. T’as trop fais sec là ! Aller bouge, je passe te prendre.
Duncan : Oh Lee lâche moi tu veux. Je ne viens pas aujourd’hui….

Lee raccrochant ne laissant pas à Dunk le temps de finir sa phrase. Pensant qu’il avait compris Dunk reprit sa place à côté de moi. Tout à coup la porte de la chambre s’ouvrit…
Lee entrant dans la chambre et sautât sur le lit pour atterrir au milieu de Dunk et moi. Dunk lui sursauta et moi je ne me suis même pas aperçu de la présence de Lee. Dunk s’énerva et descendit du lit en entraînant Lee avec.

Duncan : Oh la t’aurais mieux fait de ne pas faire ça. Sérieux là t’as abusé mon petit gars. Putain mais où tu te crois toi…
Lee : Mais chez moi… Non mais bon on doit aller bosser.
Duncan : Je n’y vais pas…
Lee : Pourquoi ?
Duncan : Autres choses à faire…
Lee : Quoi autres choses à faire… te fiche pas de moi t’avais une nana avec toi toute la soirée j’arrive vous dormez tout les deux sur le lit tout habillé… désolé mais y’a un soucis quelque part non ?
Duncan : Non pourquoi ? Tu penses que parce qu’on à pas couché ensemble y’a un soucis ? Tu te trompe tout fonctionne bien.
Lee : Oui c’est se que l’on dit…
Duncan : Et Géraldine ?
Lee : Toujours en train de dormir…
Duncan : Ben t’es gentil tu retourne devant, tu nous fait un café et moi j’arrive je vais prendre une douche.
Lee : Chef, oui chef…

Lee s’en alla vers l’avant de l’appartement, pour préparer le petit déjeuner car même si il pouvait avoir des manières très brusques… il était vraiment très cool.

Chap. 4 : Panique


Duncan retourna vers la chambre, il prit le temps de déposer un baiser sur ma joue et s’en alla dans la salle de bain afin d’y prendre sa douche. Une fois celle-ci terminé il enroula une serviette autour de sa taille, sorti sa tête de la salle de bain et regarda si je dormais toujours. Puis il retourna à l’intérieur et s’habilla des vêtements très class et sexy qui le mettait à merveille en valeur. Je sentis son parfum m’arrivé jusqu’aux narines et je m’éveillais. Je me mis assise sur le lit, au beau milieu du lit. J’essayer de me remettre un peu en place de peur de décevoir Dunk au réveil. Dunk sortit de la salle de bain et me regarda en souriant…

Duncan : Mais arrête donc t’es très bien comme ça…
Moi : Tu parles je sais à quoi je ressemble au réveil et c’est pas très joyeux, désolé de t’imposer ça.
Duncan : Mais non t’inquiète… et puis tiens la salle de bain est libre pour toi, et regarde dans l’armoire peu être tu trouve des trucs qui te plaises.
Moi : Euh oui d’accord merci… t’as des fringues de filles dans ton placard ?
Duncan : Hum (visiblement un peu gêner) affaires d’ex copines qu’elles ont oublier… et puis faut pas jeter ça peu toujours servir. La preuve.
Moi : Mais t’as pas de compte à me rendre. Oui t’as raison ça peu toujours servir… a voir si c’est à moi que ça va servir…
Duncan : Ok comme tu veux. Je prépare le petit déjeuner en attendant et je vois si Géraldine veut elle aussi se lever. (Et juste avant de sortir de la chambre) Au fait, T’es très belle quand tu dors.
Moi : Merci, mais je peux pas te retourner le compliment je dormais je t’es pas regarder dormir… (En rigolant presque machinalement)

Duncan sortit de la chambre et moi de mon côté je suis allé tranquillement dans l salle de bain pour me rafraîchir prendre une douche et me changer. En sortant de la douche je me suis sécher et habillé avec se que j’ai pu trouvé pas trop des fringues à mon goût mais j’ai fais avec. Un jean, un petit débardeur et une chemise on fait l’affaire je me changerais en arrivant à l’auberge ou nous avions nos affaires. J’ai mis sont parfum que je trouver trop bon… puis je suis sortis de la chambre j’ai saluer Lee et G qui était en train de discutaient.

Moi : Euh Je veux pas vous dérangé… mais ou est Duncan ?
Lee : Tu dérange pas, désolé de t’avoir trop taquiner hier… et Dunk est parti chercher quelques bricoles à manger pour le petit déj’.
Moi : Merci de t’excuser… c’est Gentil. Il n’aurait pas du se déranger comme ça, nous on va rentré à l’hôtel et ensuite on va partir pour quelques visites. Restes que trois jours faut j’en profite pour voir Londres. Lol
Lee : oui je comprends mais vous allez attendre que Dunk revient parce que moi je vous laisse pas partir… sinon l’autre il va me taper !
Moi : Pauvre petit Lee ! On verra pour combien de temps il en a parce que voilà pas toute la journée.

Lee et moi commencions à bien nous entendre, c’était même agréable de parler avec lui. Et même cela ne m’étonnait pas que Duncan me parlé hier soir de lui comme son meilleur ami. C’était évident qu’il était lié tout les deux. La conversation tourna sur la nuit que Duncan et moi avions passée ensemble.

Lee : Alors on dort bien dans le lit de Duncan ?
Moi : Pas dans son lit sur le lit… pas la même chose. Mais c’était génial en plus Il à vraiment était cool.
Lee : Je sais mon pote et cool… se qui m’épate c’est la façon dont il te regarde je me souviens pas avoir vu souvent ces yeux brillés comme ça pour une fille. Et en plus ça n’a même pas fini par un câlin. Vraiment BRAVO Dunk.
Moi : Euh… Mais pourquoi ça aurait du finir ainsi ?
Lee : C’est Dunk c’est un mec, et ne me dis pas qu’il ne te plait pas…
Moi : Non du tout je le trouve trop… mais tu sais une belle histoire peu en être une sans mêler le sexe à ça ! Surtout pour une histoire si courte.
Lee : Si courte, t’en as déjà un autre ?
Moi : Non… mais une histoire si courte, encore deux nuit et se sera fini et d’ici la fin de la semaine il m’aura oublier donc j’y vois pas d’intérêt.
Lee : Ne Dis pas ça. Si Dunk est amoureux…. Il ne te laissera pas partir comme ça.
Moi : Je penses qu’il n’a pas trop le choix…
A se moment là, Duncan arriva et intervint dans la conversation.
Duncan : Pas le choix de quoi ? J’ai comme dans l’idée que vous parliez de moi non ?
Lee et Moi : Non, non tu te fais des idées.
Duncan : Non je suis sur que je ne me fais pas d’idées. Mais c’est pas grave je réussirais à le savoir vous inquiétez pas, Lee ne peut résister sous la torture… (En rigolant)

Lee s’en alla et nous laissa seul avec Duncan, il alla rejoindre Géraldine seule sur le divan.

Lee : Je peux m’asseoir avec toi ?
G : Bien sur ! T’es plus chez toi que moi. Alors toi t’aime bien faire chier ton monde j’ai remarquer.
Lee : Oui disons que c’est une occupation comme une autre. Mais tu sais ton amie je l’aime bien elle est sympa, adorable et on peu super bien parler avec elle. Alors maintenant faut je sache si t’es comme elle ?
G : Moi ?
Lee : Oui toi qui d’autre ?

G et Lee parlèrent alors de tout et de rien et faut croire que cela marchait bien entre eux, on pouvait les voir rigoler comme des gosses.
Pendant se temps Dunk et Moi étions dans un coin à parler nous aussi, a se prendre dans les bras l’un de l’autre, presque aux bord des larmes quand nous émettions l’idée de devoir bientôt se quitter. Il est vrai qu’en l’espace de très peu de temps je mettais beaucoup attacher à lui et je penses que c’était pareil pour lui. Le temps à passer et je lui es fais signe qu’on devait partir Géraldine et moi. J’entrepris donc de me séparé de lui pour me dirigé vers Lee et Géraldine. C’est à se moment là que Dunk me prit le bras pour me retenir…

Duncan : Marie… Je ne veux pas que tu partes.
Moi : Mais on se reverra se soir si tu veux… mais je veux pas passer mon après midi enfermé alors que j’ai encore tellement de choses à voir.
Duncan : Je parle pas que d’aujourd’hui. Je ne veux pas que tu repartes dans quelques jours.
Moi : Mais j’ai pas le choix c’est comme ça. On gardera de beaux souvenirs ensembles…
Duncan : les souvenirs ça ne suffit pas. Je ne veux pas avoir à me souvenir je veux du concret.
Moi : J’ai rien à t’offrir…

Puis je suis parti pour finir la conversation… et je me suis dirigé vers Géraldine pour lui dire qu’on partaient je l’es prise par le bras et hop. Je lui fis signe de se dépêcher car j’étais assez contrarié par la conversation. Duncan lui resta à sa place se demandant s’il avait bien fait de dire cela. Lee parti le rejoindre, une fois que G et moi étions sorti de l’appartement.
Lee essayant de comprendre se qui c’était passé interrogea Dunk.

Lee : Qu’est-ce qui c’est passé elle à l’air dans tout ces états. Qu’est-ce que tu lui à dis ?
Duncan : Rien je lui ais juste dis se que je penses… c'est-à-dire que j’ai pas envie qu’elle parte.
Lee : Et ?
Duncan : Elle à peur c’est évident…Et moi je veux pas la laisser partir c’est une chose qui est sur. Mais je ne peux pas la forcer à rester.
Lee : Non c’est sûr. Mais te reste du temps pour la convaincre. Ou alors tu fais rien tu bouge pas tu passe de bons moments avec elle et quand tu l’accompagne à la gare ou à l’aéroport tu lui fais la déclaration.
Dunk se dirigea alors vers sa chambre d’un air résigné. Lee le suivit.
Duncan : Tu vois même ma chambre respire son odeur, et pourtant je la connaît pas tant que ça… mais toi aussi t’as parlé avec elle t’en pense quoi ?
Lee : Ecoute je vais te dire la même chose que j’ai dis à G la copine de Marie. C’est vrai que j’aime faire chier mon monde… mais franchement Marie c’est autre choses elle s’énerve pas trop elle est douce elle parle avec tout le monde elle rit pour une rien… Bref même si je ne la connais pas trop ben c’est vrai que c’est une fille Génial. Et j’aimerais beaucoup m’en faire une amie.
Duncan : Tu vois toi aussi ! Bon sang j’ai trop les nerfs pourquoi je l’es laisser partir avant ?
Lee : Mais qu’est-ce que tu ressent vraiment dis le. De l’amour de L’amitié, mais surtout qu’elle genre d’amour ? Parce que je ne crois pas que se soit la peine de faire tout se tapage pour un amour éphémère.
Duncan : Mais non t’y es pas du tout… si c’était éphémère comme tu dis… ben tu crois que cette nuit se serait passé quoi ?
Lee : Tu marques un point. Cette fille t’as fait tourné la tête.

Chap. 5 : Recherches...


Pendant se temps là à l’autre bout de la ville, arpentant les rues de Londres à la recherches de l’inconnu G et Moi étions en train de continuer nos visites sans même évoquer se début de journée que je préférais oublier. Plus tard en fin d’après midi nous sommes rentrées toutes les deux destination la petite auberge ou nous avions une chambre. Petit brin de toilette, puis repos. Soudain je fus prise d’une envie d’être seule de réfléchir, je dis donc à Géraldine que je partais une petite demi-heure dans les rues juste pour prendre l’air et voir autre choses j’avais besoin de me vider la tête. J’essayais un maximum de ne pas pensé à cette nuit à se matin… aux choses dites et à celles que j’aurais dû dires… mais tout me rappelais Duncan, les affiches dans la rue, la ville, le bâtiment du studio d’enregistrement que l’on pouvait distingué au loin… tout ! Sur le chemin du retour non loin de l’auberge où je séjournais avec Géraldine je me suis installé sur un banc un peu à l’écart du reste du monde. Pendant se temps à l’auberge Géraldine était en compagnie des Garçons (Lee, Anthony et Simon) qui avait réussi à trouver l’adresse ou nous logions. Lee voulait absolument comprendre se qu’il se passait.

Lee : Bon on est désolé de vous déranger, mais faut juste que j’arrive à comprendre certaines choses.
G : Vous ??? Mais je suis seule, tu déranges personnes d’autre. Mais c’est déjà pas mal de me déranger moi.
Lee : Et Marie ?
Simon et Anthony : Ouais elle est où ? Ont est venu exprès pour elle. C’est pas qu’on t’aimes pas toi, mais c’est l’avenir de notre pote qui est en jeux.
Lee : Du calme les gars…
G : Elle est partie après avoir pris une douche, elle voulait être seule je sais pas pourquoi.
Lee : Elle t’as dit quoi ?
G : Rien elle n’a pas voulu me dire se qui c’est passé cette nuit, ni se qu’elle et Duncan se sont dit se matin avant qu’elle ne veuille repartir si vite.
Anthony : C’est passé quelque chose cette nuit ?
Lee : Non, rien !
G : T’as l’air d’en savoir plus que moi. Explique nous alors.
Lee : Ils ont passé toute la nuit et la soirée dans la chambre de Dunk sur le lit a discuté, je vous dit c’est rien passé. Et se matin Marie est parti quand Dunk lui à dit qu’il ne voulait pas qu’elle reparte dans trois jours.
Simon : Pourquoi il a fait ça ?
Lee : Je sais pas mais cette fille, nous a changé notre Dunk.
Anthony : Non il est amoureux… je crois c’est pas plus compliqué que ça.
G : Arrêtez de racontez de bêtises je suis d’accord avec Marie, on peu pas être amoureux au bout de deux jours… même si le gars s’appel Duncan.
Lee, Simon et Anthony : Pas sur…
G : En attenant moi j’avais prévu de passer un agréable séjour avec ma meilleure amie, et là… ben je suis seule sans elle je sais pas ou elle est si qui m’inquiète d’ailleurs. Et de plus on est venu ici pour se distraire et pas pour avoir encore plus de soucis.
Lee : Les histoires de cœurs sont jamais simple… mais ne crois surtout pas que Dunk n’es pas malheureux et de toute façon il à pas intérêt à faire du mal à Marie. Parce que mine de rien je l’aime bien.
Simon : Oui et je voudrais pas jouer les rabat-joie… mais bon voilà on prend grave du retard sur le programme d’enregistrement pour les nouveaux titres… si Dunk n’es pas là nous on peu pas bosser nous manque un chanteur.
Anthony : Ben quelque part on prend des vacances au moins comme ça… c’est pas plus mal.
G : Oui ben et qu’est-ce que l’on fait alors maintenant. C’est cool j’ai pu rencontrer mon groupe préféré, mais il à fallut que ça tourne mal. C’est bidon.
Lee : T’énerves pas.

Ils continuèrent à discuter ainsi encore un moment…
Moi j’étais toujours assise sur mon banc ne sachant pas quoi faire. Je ne voulais pas rentré à l’auberge car je n’avais pas envie de discuté de la situation avec Géraldine qui j’en suis sur n’aurais pas compris pourquoi j’avais tant de mal à accepter se que Dunk voulais m’offrir, et je ne voulais pas non plus retourner chez Duncan de peur de lui faire de la peine. Et pourtant cela aurait-il était une si mauvaise idée non pas de lui faire de la peine mais de retourner chez lui afin de s’expliquer ? J’étais d’avis partager, cet homme a toujours été mon rêve depuis que je le connaît à travers les magazines et la maintenant je fuis face à la réalité… n’est-ce pas un peu contradictoire ? Le temps passait et la nuit commençait à tomber sur Londres, j’ai donc repris ma route vers ou je ne sais pas mais je marcher…

Chap. 6 : Comme un mirage...


Quand tout à coup, au coin d’une rue j’aperçu une silhouette qui mettais familière. Je m’approchais de l’église ou il était assit cet homme à la silhouette si reconnaissable. Il était assit sur les marches de l’église fixant le sol comme s’il attendait quelque chose qui ne viendrait jamais. Je m’approchais de plus en plus de lui, lui ne pouvait pas me voir j’étais derrière lui, je posais ma main sur son épaule et le regarda dans les yeux quand il leva les yeux vers moi.

Moi : Qu’est-ce que tu fais là ? Reste pas assis là ça te mèneras à rien.
… : Je cherches des réponses, mais il semble qu’elles ne veulent pas venir me trouver…
Moi : Duncan de quoi tu parles ? Ca n’a aucuns sens de rester assit aux devants d’une église dans l’attente de réponses.
Duncan : Peut-être, mais ma foie les trouvera peut-être.
Moi : Arrêtes, les réponses je te l’es ais donner. Je ne peu rien t’offrir de plus que ces deux jours… je serais contente de les passés avec toi. Aussi bien que je serais triste de devoir te quitter dans deux jours. Mais faut prendre la vie comme elle est. Des filles t’en trouveras d’autres…
Duncan : Je n’en veux pas d’une autre, c’est toi que je veux. Ne penses pas que je suis quelqu’un qui oublie vite, qui passe d’une fille à une autre en un rien de temps, c’est vrai on peu le croire, mais pour toi je veux changer.
Moi : C’est gentil mais tu n’as pas à faire ça pour moi.
Je me mis assise à ces côtés, comme soulager de l’avoir vu. Je passais ma main sur sa joue et je mis ma tête sur son épaule, comme j’étais bien je pouvais sentir son cœur battre.
Duncan : Pourquoi ?
Moi : Pourquoi, quoi ?
Duncan : Pourquoi tu fais ça ? Pour que je tienne encore plus à toi ?

Puis Duncan repensa à la conversation qu’il avait eu avec Lee la matin même, et en conclu qu’il avait raison qu’il devait profiter de ces deux jours, et que si la puissance supérieur le voulait le destin ferais que nous ne nous quitterions pas. C’est alors qu’il se retourna et qu’il mit ces bras autour de moi et me serra fort. Je sentais son souffle sur ma peau, j’en frissonnais c’était si agréable…
Pendant se temps Géraldine, Lee, Simon et Anthony étaient toujours en train de faire des pieds et des mains pour trouver une solution afin de faire en sorte que ni eux ni Géraldine ne perdent leurs temps. Ils proposèrent de se divisé pour nous retrouvés. Lee eu d’abord l’idée de téléphoner à Dunk pour savoir où il était se qui en soit n’était pas une mauvaise idée étant donner que Dunk et moi étions ensembles, mais ça eux ne le savait pas. Lee prit donc son téléphone et composa le numéro de Duncan. Dunk lui répondit mais à nouveau très peu satisfait de se faire déranger sans cesse.

Duncan : Oui !
Lee : Eh, mec t’es où c’est Lee je me fais du soucis pour toi.
Duncan : Du souci pourquoi faire ?
Lee : Dunk ne parles pas comme ça. C’est pas bon dis moi où t’es et je passe te prendre on va se changer les idées.
Duncan : Non, mec pas besoin de toi… On verra plus tard.

J’entendis une partie de la conversation et je pris le téléphone des mains de Duncan. Il ne pu faire grand-chose pour m’en empêcher, et quand il voulu me le reprendre je le regardais d’un regard noir…[/color

]Moi : Lee c’est Marie ! Dunk est avec moi, je l’es retrouvé en rentrant à l’auberge. Je m’en occupe.
Lee : Qu’est-ce qui c’est passé, je veux savoir.
Moi ! T’as rien à vouloir, je t’expliquerais on se retrouve tous au bar ou on c’est rencontré dans deux heures ça marches ?
Lee : Oui mais t’as intérêts à avoir une explication.

[color=green]Je raccrochais alors, et j’attendais quelques instants avant de commencer à parler.

Moi : Dunk pourquoi t’es comme ça, ça sert à rien d’être triste. Faut prendre la vie comme elle est.
Duncan : Tu m’as trop fais mal quand t’es partis ce matin.
Moi : J’en suis désolé, mais quand t’as dis ça j’ai eu trop peur. Je me suis rendu compte de trop de choses avec ces mots.
Duncan : Tu t’es rendu compte de quoi ?
Moi : C’est trop tôt pour dire des choses comme ça, surtout dans notre cas.
Duncan : Quoi notre cas ? C’est trop tôt pour dire je t’aime ? Peu être mais je prends le risque.
Moi : Dis pas ça !
Duncan : Mais ce n’est que la vérité, le fait que tu es peur n’es que justice ça prouve bien que tu ressens la même chose sinon tu n’aurais pas peur.
Moi : Peut-être !

Il me sourit et me prit dans ces bras, il avait l’air si fort et pourtant on pouvait deviner les traces de blessures d’enfance qui avait fait de lui l’homme qu’il est plein de générosité de courage et de respect. J’étais si mal toute cette journée, je ne savais pas où j’en était, si malheureuse de devoir partir tout c’était bousculé dans ma tête mais en fait Dunk avait bien résumé la situation… j’avais peur de l’amour qui naissait entre nous. Nous sommes encore rester un moment assit dans les bras l’un de l’autre, puis il se leva me prit la main et nous partîmes ainsi reprendre notre route afin de rejoindre les autres.

[/b][/u]

Alors ca vous plait ??? On continue... des idées pour la suite, suggestions ...

Auxilliare de vie? Tu es sur que tu fais ce boulot là. Moi j'aurais cru que tu étais écrivain!!! lol

J'attends la suite avec impatience!!!

Oui t'inquiète Mél jsuis sur, mais bon j'aime aussi l'écriture donc voilà je t'en fais profité ! mdr

Chap. 7 : La gaffe...


Nous sommes arrivés à l’heure prévue au Pub ou nous nous étions rencontré pour pouvoir rejoindre les autres. Nous sommes entré puis avant qu’il ne continu je me suis arrêter j’ai lâcher sa main et j’ai dis :

Moi : Va-y j’arrive je vais faire un tour au toilette. Pas besoin de m’attendre j’en ais pas pour longtemps.
Duncan : Ok a tout de suite. (Il me regarda en souriant.)

Je me dirigeais vers les toilettes quant à lui il alla rejoindre les autres qui étaient soulagé de le voir arrivé avec le sourire. Il salua tout le monde puis se mit assit avec eux.
Géraldine intervint avant qu’il ne commence à parler avec les autres.

G : Euh, c’est pas que je suis pas contente de te voir… mais elle est où Marie ?
Duncan : Au toilette, elle arrive.
G : Non pas la peine je vais la rejoindre…

Puis elle parti me retrouvé au toilette pendant que Duncan s’expliquer pour la journée passé.
Les questions ont commencé à fuser du côté de chez les garçons.

Lee : Bon tu t’expliques maintenant t’as foutu quoi aujourd’hui ?
Duncan : J’avais besoin de réfléchir, comprendre le pourquoi des choses.
Lee : Et t’as compris là ?
Duncan : Oui j’ai compris que je l’aime et qu’elle m’aime. Même si c’est tôt même si c’est dur, ben c’est comme ça.
Anthony : Vous avez vu les mecs j’avais raison…
Simon : Et maintenant tu comptes faire quoi ?
Duncan : Je vais laisser les choses venir… Y’a rien d’autre à faire. Je vais suivre le conseil de Lee.
Anthony et Simon : Oh non ben si tu l’écoute lui ont est mal barré !
Duncan : Non pour une fois il est de bons conseils, et vous allé même m’aider je penses enfin je vous mettrez au courant en temps voulu.
Lee : Ah bon ?
Duncan : Laisses tu sauras rien. Mais je te remercie. Mais c’est dingue c’est ma foie qui me la ramenait…
Anthony et Simon : Comment ça ?
Duncan : Ben il se trouve que je suis aller au pied d’une église londonienne pour essayer de trouver des réponses et Marie eu a même idée je crois… Me suis retourné elle était là à côté de moi.
Lee : Dingue.

Pendant se temps au toilette. Géraldine et moi discutions à peu de choses près de la même chose. Elle me questionnait sur se qu’il s’était passer sur le pourquoi de ma disparition pendant plus de 3 heures…

G : Marie t’es dingue j’ai crus j’allais mourir de peur…Alors c’est passé quoi avec Dunk ?
Marie : Se qui c’est passer c’est que je m’apprêtais à rentré m’excuser auprès de toi d’être parti et je l’es vu assit seul sur les marches d’une église.
G : Une église ?
Moi : Oui, il m’a dit qu’il avait besoin de réponses à ces questions et que c’est le seul endroit ou il les trouves… auprès de dieu.
G : Mince je ne pensais pas !
Moi : Quoi ?
G : Ben qu’il était si croyant.
Moi : Plus que tu ne l’imagines. Il m’a dit qu’il m’aime. Et même si c’est trop tôt je pense que c’est pareil de mon côté.
G : Ben ça c’est évident. Et maintenant ?
Moi : Ben on va vivre c’est deux jours de façon intense, et advienne se que pourra. Je ne peux pas renoncer à ma vie, et lui pas à la sienne donc le problème reste le même. En attendant, je veux garder tout se qu’il m’offre…

Nous avions fini notre conversation toujours aussi liés l’une à l’autre G et moi c’était comme ça. En retournant vers eux nous avons entendu un son qui nous plaisait bien, et plutôt que de retourner directement nous asseoir, nous sommes aller danser. Les garçons se posaient des questions quant à savoir ou nous pouvions être. Dunk s’impatienta c’était visible et Lee n’arrêtait pas de le fixer tout en étant mort de rire.

Duncan : Mais pourquoi tu rigoles t’es con ou quoi ?
Lee : Non pour rien, mais toi pourquoi t’es si stresser ?
Duncan : Je sais pas ça fait longtemps qu’elles sont aux toilettes je crois que ça commence à faire long. Non ?
Lee : Ouais en effet si elles étaient aux toilettes. Tournes toi voir !

Dunk se retourna alors et comprit pourquoi Lee était mort de rire. Lui qui se faisait du souci ne s’imaginer même pas que G et moi étions en train de rigoler comme des petites connes sur la piste de danse. Il fit signe à Lee de le suivre et tout deux sont aller nous rejoindre sur la piste. Il se mit derrière moi posa ces mains sur mes hanches et dansa de façon très serré c’était super agréable… Lee faisait pareil avec Géraldine, qui fut assez surprise. Dunk vint me dire quelques mots à l’oreille…

Duncan : Ce n’était pas gentil de faire ça !
Moi : (Me tournant vers lui) Quoi donc ?
Duncan : Me faire attendre, penser que tu ne reviendrais pas.

Il me prit dans ces bras, déposa un baiser sur ma joue puis descendit avec sa bouche le long de mon coup pour remonter chercher mes lèvres. Il m’embrassa comme jamais personne ne l’avait fait c’était magique j’avais l’impression de m’envoler sous les caresses de ces lèvres si douces. Je me cramponnais à sa chemise, oh que c’était bon. Quand il eut fini, je me mis sur la pointe des pieds pour lui dire au creux de l’oreille.

Moi : Tu embrasses vraiment très bien, c’est magique j’ai l’impression de m’envoler quand je suis avec toi dans tes bras.
Duncan : C’est pareil pour moi, tu es si douce. Et si ça te plais t’as encore rien vu…
Moi : Comment ça ?
Duncan : Oh rien … c’est juste que je suis le roi des massages.
Moi : Ah bon ? Intéressant…

Il reprit mes lèvres et continua à m’embrasser toujours aussi merveilleusement.
De leurs côtés Géraldine et Lee s’amusaient aussi bien, danser se caresser car faut le dire G est bien moins farouche que moi et c’est se qui plu à Lee. Même si ils étaient tout deux très complices ils ne pouvaient s’empêcher de garder un œil sur nous.

G : Sont beaux tout les deux non ?
Lee : Oui bien sur, tu n’as pas peur qu’ils s’enflamment pour rien ?
G : Ben je crois qu’il vaut mieux les laisser vivre ça même si ça risque d’être court et dur, mais au moins ils n’auront pas de regrets.
Lee : Oui t’a sans doute raison.

Il s’approcha un peu plus d’elle, le sourire en coin. Son approche devenait dangereuse…

G : Qu’est-ce que tu fais ?
Lee : J’ai envie de t’embrasser.
G : Ah ben ça…

Il s’approcha encore et en l’espace de quelques instants leurs lèvres étaient collés ensembles et commencèrent une danse endiablée. Les mains de Lee se baladaient sur le corps de G, elle était complètement envoûtée par lui. Ils ne séparèrent plus de la soirée à croire qu’un deuxième couple était né. J’étais assez amusé de les voir comme ça. Il était de nouveau bientôt l’heure de rentré pour se coucher, je n’en avais pas envie et pourtant il le fallait bien. G pensa sans doute à la même chose que moi… Elle lâcha Lee et se dirigea vers nous pour me dire au creux de l’oreille qu’il était temps d’y aller je lui fis oui de la tête. Et dis à Dunk :

Moi : Désolé mais nous on va devoir y aller là… il est tard et faudrait que je dormes parce que avec toutes ces émotions je suis cassé.
Lee : Qu’est-ce qui se passe pourquoi t’es parti Géraldine ?
Duncan : Ferme là…
Moi : Mais arrêtes d’être si désagréable…
Duncan : Mais non, c’est juste que je n’aime pas qu’il se mêle de tout… pourquoi vous partez déjà ?
G et Moi : Ben pour aller dormir… désolé mais on résiste pas à l’appel de Morphée.
Lee : Mais à moi tu résiste Géraldine ?
G : Non comment pourrais-je ? (En éclatant de rire)
Duncan : Oh merde comme elle t’a cassé là… Bon sang que j’aime le caractère des françaises…
Lee : oui, oui c’est ça…
Moi : (M’approchant de Dunk pour l’embrasser) Bon aller nous, on vous laisse.
Dunk et Lee : NON
Moi : Comment ça non ?
Lee : Ben non on va vous raccompagner rentré pas seules.
Moi : Bon ok mais tout de suite pas dans dix ans. Ont vous attends dehors.

G et moi sommes sorti toute les deux pour les attendre à l’entrée de la boite, nous en avons profité pour prendre un peu l’air, et discuté. Je fis remarquer à Géraldine qu’elle avait l’air d’avoir un bon feeling avec Lee. Elle n’eu même pas envie de dire le contraire. Lee et Dunk arrivèrent et nous accompagnèrent jusqu’à la voiture de Lee.

Duncan : Eh gamin tu roules ?
Lee : Ouais
Duncan : Je monte à l’arrière avec Marie. Tu nous emmènes chez moi chauffeur.
Moi : Chez toi, non je penses pas j’ai dis que je voulais dormir G et moi ont rentrent à l’auberge.
Duncan : Mais arrête vous serez mieux chez nous… vous dormirez mieux qu’à l’auberge. Et puis si c’est ça qui t’inquiète y’a une chambre d’amis.
Lee : Oui G tu viens dormir chez moi, on va jouer au chat et à la souris.
Duncan : (Donnant un coup à Lee) T’es trop con.
G : Mais laisse le s’il veut des coups il va être servi… demande à Marie elle en à déjà fait les frais.
Duncan : Arrêtes t’as déjà frapper Marie ?
G : Ben ouais tu crois quoi… parfois on se chamaille on se tape dessus mais on se réconcilie tout aussi vite.
Moi : Mais oui tu sais je t’aime ma petite G !
Duncan : Ouais ne recommence pas alors… Et moi tu ne m’aimes pas ?
Moi : Euh … non quelle question. (Me retournant et l’embrassant)
Duncan : Je préfère ça…
Lee : Attendez qu’ont arrivent… Au fait j’ai une idée… demain on part donner un concert venez avec au moins vous verrez du pays.
G : Ouais génial… ont part quand ?
Lee : demain vers midi on rentre le lendemain ont dort sur place. Ont rentrent samedi dans la journée.
G : Ah…
Lee : Ah quoi ?
G : Rien je t’expliquerais.
Lee : Ok

Lee s’arrêta nous étions arrivé devant chez Duncan, nous sommes tout les deux sorti de la voiture avons saluer G et Lee et avons fait quelques petites recommandations de coutumes.
Duncan et moi sommes montés ensuite…

Chap. 8 : Interrogation...

Lee et Géraldine étaient toujours dans la voiture cette fois en route pour aller chez Lee, durant le trajet ils ont continué la conversation que G ne voulait pas poursuivre plus tôt.

Lee : Pourquoi se « Ah » tout à l’heure ?
G : Samedi c’est le jour ou nous repartons. Et je m’étonne que Marie n’est pas plus réagis.
Lee : Ouais désolé j’avais pas pensé à ça… C’est bête je vais commencer à pensé comme Dunk…
G : C'est-à-dire ?
Lee : C’est trop bête que vous partiez. En plus tu les as vu tout les deux. Magnifique.
G : Je sais, c’est ainsi.

Lee ne dit plus rien et resta sans dire un mot pendant tout le reste du trajet.
Pendant se temps la dans l’appartement de Dunk, nous étions tout les deux ensemble à boire un dernier verre dans la cuisine discutant mais pas trop profondément… nos yeux nous trahissaient. Puis Duncan rangea les verres, et dit :

Duncan : Viens je te montre ta chambre !

Je le suivais, sans rien dire puis je le remercier quand il m’ouvrit la porte. Il parti puis revenu dans la chambre avec des vêtements un t-shirt pour la nuit et des affaires de rechanges pour le lendemain. Puis il sortit en me souhaitant une bonne nuit. Il s’en alla dans sa chambre.
Seul dans cette grande chambre je me sentais mal à l’aise, je n’avais pas envie de passer la nuit seule mais savais aussi que je ne voulais rien avec Dunk cette nuit. J’entrepris donc de me changer, me suis coiffée les cheveux puis me suis assise sur le lit… je n’étais pas décidé à rester seule ici, je sortis donc de ma chambre me disants que cela ne me coûterais rien d’essayer chez Dunk. Face à la porte j’eu un petit frisson de panique qui vint m’envahir… puis je frappais tout de même à la porte…

TOC, TOC, TOC,

Duncan : OUI
Moi : (J’entrouvrais la porte pour le voir) Euh, désolé… mais j’ai pas envie de passer la nuit seule. Ça te dérange si je m’allonge à côté de toi ?
Duncan : Euh. Non ! BIEN SUR. Mais je croyais que ne n’étais pas prête.
Moi : Non, je veux juste passé la nuit dans tes bras. Je peux ?

Il ouvrit son bras et se mit un peu plus de côté pour me laisser de la place.

Duncan : Aller vient.
Moi : Merci

Je me suis donc installé au creux de son bras, c’était doux et chaud. J’aurais pu me laisser aller dans ces bras, mais je m’y refusais. Je pensais à nouveau au départ c’est pourquoi je me suis retourné pour que Dunk ne me voit pas j’en avais les larmes aux yeux. Je pouvais pas m’en empêcher, c’était trop triste cette belle histoire qui aurait pu commencer était déjà voué à l’échec. Même si j’ai essayer de le lui cacher il s’aperçut tout de même que je pleurais il serra encore plus son emprise sur moi pour me réconforter.
De leurs côtés G et Lee était aussi arrivé aussi sur le point d’aller se coucher… laissant faire les choses et les choses ont fait que cette nuit là rien ne se passa entre G et Lee qui pour une fois a su contenir ces pulsions masculines. G était impressionné. Le lendemain matin très tôt je pris mon téléphone sorti de la chambre pour aller vers l’autre bout de l’appartement et j’entrepris de composer le numéro de Géraldine qui j’en étais sûr dormait encore.

… : Allo
Moi : C’est Marie écoute faut je te parles t’es seule ?
… : Non enfin il dort. Ben parles t’inquiètes je m’en occupe s’il se réveil.
Moi : G on peut pas aller à se concert. Sérieux c’est pas possible je pourrais pas passer deux jours entier avec Dunk et le quitter le soir même.
G : S’il te plait moi je veux y aller… et ça à toujours été ton rêve de les voir en concert. Je t’aiderais à surmonter ça…
Moi : G, c’est trop dur je l’aime… Quand je suis avec lui j’ai l’impression de défaillir ! Je sais pas c’est la première fois…
G : Oui je sais Marie, on va aller à se concert tu passeras des moments magique, et tu te réveillera en France se sera comme un rêve.
Moi : Un cauchemar…
G : NON

Chap. 9 : Le concert



J’ai couper court à la conversation quand j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir, il sorti et avança jusqu’à moi et me fis une bise sur la joue. J’étais assez déçu de sa façon assez froide de me saluer. Mais je me disais que au moins comme ça se serait plus facile de le quitter. Nous avons prit le petit déjeuner et sommes aller nous douché et s’habiller chacun de son côté. Dunk était prêt avant moi, faut dire qu’il était super craquant comme toujours, j’aurais presque eu envie de lui sauté dessus… comme ça lui allait bien ces jeans moulant comme il faut et une chemise blanche entrouverte et sa croix autour du coup qui ne le quitter presque jamais. Le voyant prêt je me suis un peu dépêcher. Lui ne bronchait pas assit sur un tabouret de la cuisine à attendre. Nous sommes parti en route pour l’aéroport ou les autres devaient nous rejoindre. J’aurais voulu passer à l’auberge chercher quelques affaires, mais Dunk me dit que j’aurais tout le loisirs d’acheter se qu’il me fallais une fois sur place. Une fois arrivé devant l’avion nous sommes montés, Dunk c’est installé et m’a montré ma place Presque à côté de lui mais pas entièrement. Les garçons étaient installé les uns en face des autres, G et moi étions installé aussi l’un en face de l’autre il n’y avait que l’allée qui nous séparé. J’ai rien dit pensant que c’était ainsi car ils devaient travailler pour préparer le concert. G et moi avons discuté pendant tout le trajet c’était bien sympa. Je ne pensais à rien, et c’était aussi fort agréable, de temps à autres Lee regardait G et Dunc me regardait moi.
Voilà nous étions enfin arrivé, les garçons sont partis répété, quant à nous nous avions carte blanche pour tout le reste de l’après-midi, ont est allé faire du shopping j’ai trouvé des trucs trop sympa, mais j’ai pas abusé sachant que c’était sur la note de Dunc. Vers 19 heures environs deux heures avant le début du concert nous sommes rentré à l’hôtel pour se préparer, les garçons n’étaient déjà plus là déjà en train de se préparer eux aussi et en train de répéter pour être au top. L’heure tournait il était temps d’y aller, une fois sur place nous étions un peu intimidé car la salle était rempli au comble dingue j’avais jamais vu ça. On était au premier rang un des avantages à connaître le groupe… lol le concert à débuté les mecs sont arrivés de manière très original comme d’habitude c’était grandiose. Dunc était vraiment très beau, je fondais littéralement sur place. Les chansons défiler la foule était déchaîner, le concert était mentant presque terminé déjà plus de deux heures de spectacle étaient déjà passé. Et j’étais un peu déçu que Duncan n’est pas plus prêter attention à moi que cela. Tout le monde cru que le concert était fini… quand tout à coup Dunc prit la parole…

Duncan : (À toute la salle…) Je voudrais tous vous remercier pour vous être déplacé et assister à notre show. Vous avez été géniaux … ça à été un plaisir pour nous de partager ces instants avec vous… Nous avons un dernier petit cadeau… (Puis il marqua une pause…) une petite dédicace, que nous réservons Lee et moi-même à deux petites Françaises qui habitent nos cœurs ! Pour elles… « One love » !

Ils reprirent leurs show… G et moi ont croyait pas à se que l’on venait d’entendre. Lee et Dunc chantaient pour toute la salle, mais ont avaient l’impression qu’ils ne chantaient que pour nous. En regardant Dunc je retrouvais son regard plein d’étoiles qui en disait tellement. One love tait aussi fini… et ils enchaînèrent par « Invitation », comme s’ils voulaient passer un message. Cette fois c’était vraiment fini… ils quittèrent la scène et Dunc revint juste pour dire :

Duncan : Cette chanson était pour toi… maintenant j’espère que tu me croiras et que tu comprendra… (Il avait les yeux fixés sur moi.)

J’en étais gêner je pris le bras de G et je la guidais pour sortir, j’avais pas spécialement envie de me retrouvé dans la foule. Quelqu’un nous fit signe d’entrer dans les coulisses et nous mena à une loge qui nous était réservé. La loge était remplie de fleurs, magnifique. J’avais du mal à m’en remettre… c’était insensé fou. G et moi en discutions toute deux assises sur le divan de la loge.

G : Ben moi j’appel ça de la déclaration… Chapeau Dunc.
Moi : Oui j’en reviens pas, mais ça change rien ! N’empêche que j’en suis très contente.
G : Oui contente au point de remettre les choses en questions ? Et d’envisager de rester quelques temps ?
Moi : Non pas ça, je peux pas mon boulot m’attend lundi c’est reparti adieux petites vacances sympa. Le rêve s’arrête et ont retournent dans la réalité.
G : Choses matériels… Rha Marie si seulement t’arrêtait !
Moi : Ben dit donc toi tu peux parler, c’est qui, qui à un copain en France ? Et qui a passé la nuit dans le lit de Lee ?
G : No comment ! Lee et Bob rien à voir !

On frappa à la porte,

Toc, toc, toc

G et Moi : Entrez…
… : Euh, en fait je voulais savoir si on pouvait discuté ensemble toi et moi Marie ?
Moi : Oui bien sur et je penses que c’est nécessaire en plus. Entre Duncan.
Duncan : Merci, euh on reste là ou on va dans ma loge ?
Moi : Ici ! C’est bien.
Duncan : Euh G ça ne te dérange pas de nous laisser un peu ?
G : Non je vais aller faire un tour du côté de chez Lee.
Duncan : Oui ça lui fera plaisir… au fond du couloir à droite, son nom est inscrit sur la porte.
G : Merci de l’info.

Elle parti en fermant la porte et se dirigea vers la loge de Lee, avec l’idée de lui avouer que en France chez nous elle n’était pas seule. Duncan et moi avions commencé notre conversation en attendant.

Duncan : Alors le concert t’a plus ?
Moi : Oui c’était génial ! Vraiment, mais pour ton message je le savais déjà enfin en parti.
Dunc : Oui et ?
Moi : Et j’ai trouvé ça magnifique !
Dunc : Moi aussi, j’ai crus t’allais pleurer… ça prouve que quelque part… ben je compte pour toi.
Moi : Tu le sais…
Dunc : Non je ne sais pas ! Parce que si c’était le cas les choses seraient différentes.
Moi : Possible mais ainsi est faite la vie. On peut déjà la remercier de nous avoir mit sur le chemin l’un de l’autre.
Dunc : Et de nous séparé si vite ?
Moi : Ca c’est autre chose.
Dunc : Non c’est pareil. Moi je t’es dis se que je pensais, j’ai l’impression de mourir quand t’es pas là. Je sais pas se que je ferrais quand tu seras parti.
Moi : Tu continuera à vivre, à te faire draguer par de super filles et tu m’oublieras très vite…
Dunc : Faux ! Je t’aime… je te l’es dis avant enfin non chanter tu es mon premier et seul amour, des filles y’en à eu mais pas comme toi.
Moi : l’amour c’est magnifique ont en est la preuve mais c’est éphémère !
Dunc : non, c’est vrai.
Il se retourna pour parti me laissant seule… Puis il se retourna et dit :
Dunc : Au fait j’avais oublier, t’es très jolie se soir. Et tiens ça c’est un petit cadeau que j’avais envie de te faire, mais je penses que maintenant c’est inutile.
Moi : Euh…

Il posa son paquet sur la tablette de la loge et sorti. Je me suis mise assise et je pris se paquet en main pour commencer à l’ouvrir, j’ôtais le papier. Dedans il y avait un cadre, avec une photo de Dunc et moi enlacé, avec une inscription au dos du cadre « Avec tout mon Amour Dunc », je trouvais cela magnifique les larmes venaient inondés mes yeux. Il y avait encore une petite boite avec une chaîne en or et un demi cœur accroché dessus et son prénom au dos. J’étais trop ému pour courir chez Dunc et lui dire tout se que je pensais, que faire ? Cette photo entre les mains je la fixer, c’est vrai ont avaient l’air heureux en fait ont l’étaient. Mais pourquoi renoncer à se bonheur, pourquoi je ne me décidais pas à écouter se que Dunc ne cesser de me dire ? Bons sang que j’étais idiote quand même…

Chap. 10 : Exàplications...

Pendant se temps dans la loge de Lee tout deux s’expliquaient, sur la nuit qu’ils avaient passer ensemble, sur le comportement de Lee qui avait touché G. Et sur le copain de G, Lee ne comprenait pas pourquoi G ne lui en avait pas parlé. Ils se sont expliqué G lui à dit qu’elle ne savait pas trop pourquoi elle était avec se type mais bon qu’en attendant ben c’est comme ça et ça ne change rien à se qu’elle à vécu de magnifique avec lui. Lee avait envie de faire un effort… mais avait quand même prit du recul avec elle. Dunc était retourné seul à l’hôtel, seul ne sachant toujours pas pourquoi je ne voulais pas de lui… il était décider à prendre sa douche à dormir pour oublier, il était d’une humeur terrible personne ne pouvait lui parler. Finalement après avoir longuement regarder cette photo et cette chaîne… j’essayer d’imaginer comment cela pourrait être Dunc et moi. J’en conclus que si l’ont faisaient des efforts tout les deux ont arriveraient sans doutes à créer quelques choses. Je pris cette chaîne et la mit autour du coup, puis je suis sortis de la loge pour regagner l’extérieur du bâtiment et j’ai tout fais pour trouver un taxi en vint. Finalement j’ai vu Anthony et Simon qui eux aussi voulaient regagner l’hôtel, ils me proposèrent de m’emmener, j’ai de suite accepté. Je n’avais pas de temps à perdre c’était trop important. Dans la voiture Simon prit la parole.

Simon : Qu’est-ce qui se passe t’es pas avec Dunc ?
Anthony : Ouais quel bouffon celui là, même pas il nous aurait prévenu pour les deux chansons supplémentaires.
Simon : Mais non arrête tu sais pourquoi il à fait ça… suffit juste de suivre mec !
Moi : Euh… ouais mais bon il était pas obliger de faire ça.
Simon : C’est de l’amour ça…
Moi : Ouais, j’espère qu’il me pardonnera en tout cas !
Anthony : Te pardonner quoi ?
Moi : De lui avoir fais du mal…
Simon : S’il t’aime il te pardonnera, faut juste lui laisser du temps… il est têtu mais il sait se qui est bon.
Moi : Je l’espère…

Nous étions arrivé à l’hôtel, je suis monté en courant jusqu’à sa chambre. Je me suis arrêter quelques secondes pour reprendre mon souffle puis j’ai frapper à la porte…

Toc, toc, toc,

… : Oui, Putain Lee si c’est toi je t’éclate je veux voir personne.

Voulant aller à la douche il n’était que peu vêtu, un jean et un boxer rien de plus. Il ouvra la porte surprit de voir que ce n’était pas Lee.

Moi : C’est sur moi que tu veux frapper ? (Le regardant avec de gros yeux.)
… : Euh, non pas du tout mais pour être franc j’ai pas non plus trop envie de parler avec toi non plus.
Moi : Parfait t’auras pas à parler Dunc, tu va te contenter d’écouter.
Dunc : Bon très bien entre. Mais fais vite.
Moi : Merci. Et merci aussi pour tes cadeaux.
Dunc : De rien, Ah…
Moi : Ah quoi ?
Dunc : Ben tu portes la chaîne !
Moi : Et je devrais pas ?
Dunc : Si bien sur au contraire.
Moi : … en fait je suis venus te dire que j’avais réfléchis… quand j’ai regarder la photo que tu m’a offerte, j’ai repensé à tout ces bons moments… et j’ai pas envie de les oublier. J’ai envie d’en avoir pleins d’autres encore avec toi.
Dunc : C’est tout se que je demande.
Moi : Laisses moi finir… Je porte ta chaîne pour te montrer que tu resteras toujours dans mon cœur. Tout se que je peux te proposer, c’est de se voir le plus souvent possible lors de week-end. Bien sur on devra faire tout les deux des sacrifices, mais bon voilà.
Dunc : Le week-end, ouais… ben on va dire on s’en contentera pour commencer. Mais ne t’imagines pas qu’on restera longtemps comme ça. Faudra qu’on trouve une solution sur le long terme.
Moi : Essai de vivre l’instant présent. Cherches pas se qui se passeras demain… prends se qui vient. Et si tu le veux fais un bout de chemin avec moi.
Dunc : C’est pas se que je veux… mais en attendant c’est toujours mieux que de te perdre.

Il s’approcha me prit dans ces bras fort, et me serra longtemps comme ça contre sa poitrine. J’étais bien je ne voulais pas que ça s’arrête. Il mit son visage contre le miens chercha mes lèvres et m’embrassa, je l’attendais depuis longtemps se baiser enfin il arrivait c’était pas trop tôt. Il me souleva mes pieds ne touchaient plus terre, je m’envolais ça y’es j’étais au paradis. Je ne pensais qu’à une chose passée la nuit dans ces bras m’abandonner à lui, enfin corps et âme était d’accord. Il m’a porté jusqu’à la chambre, et nous avons commencé un long échange de caresses. Allongés tout les deux sur le lit l’un contre l’autre nos mains exploreraient chaque parties du corps de l’autre. Cet instant a duré des heures, des heures de tendres caresses, jamais je n’avais étais aussi proche d’un autre homme. Il l’a senti et a été encore plus doux et lent pour cette raison. Cela à duré toute la nuit nous avons fini par nous endormir l’un contre l’autre le corps en sueur. Dunc c’est réveillé le lendemain matin, m’a regardé dormir pendant un moment puis c’est levé pour aller prendre un douche. Moi je me suis réveillé dans un grand lit vide, je me souvenais de chaque moment de cette nuit. Je me suis enveloppée dans le drap et je me suis levé. J’avançais pour essayer de trouver Dunc voir si cela n’avait pas été un rêve, je ne le trouvais pas, je suis donc aller sur la terrasse de la chambre et je me suis installé sur une chaise longue. Je me suis presque rendormis sur la chaise. Dunc quant à lui sortis de la douche ne me vis pas dans le lit, passa une serviette autour de la taille et essaya de me trouver. Il vit une ombre sur la terrasse et y alla pour voir d’où cela provenait. Il m’aperçu allongé sur un transat, et eu le reflex de faire échapper un petit rire nerveux. Il avança et se mit assit sur le bord du transat, me regarda un moment allongé sans rien dire croyant que je dormais. Se pencha sur moi pour m’embrasser, et c’est à se moment là que j’ouvris les yeux il était surprit et c’est moi qui ais donc commencer à l’embrasser. Il posa les mains sur le dossier du transat pour se mettre mieux sur celui-ci et être plus proche de moi. Les caresses recommencèrent, il commença à mettre les mains sur le drap qui m’envelopper puis on frappa à la porte. Dunc pensa de suite que c’était Lee. Il n’avait pas forcément tords.

Toc, toc, toc,

Dunc : Putain Lee si c’est toi je te fumes.
… : Laisses moi entré. Et arrête de jouer à ton existé.
Dunc : Tu veux quoi ? LEE…………..
Lee : (Tambourinant toujours à la porte) Je veux entré, que tu te casses et parler à Marie.
Dunc : (Ouvrant la porte) Putain mais va y fais comme chez toi.
Lee : Merci
Dunc : Bon c’est quoi se délire pourquoi faut tu parles avec Marie
Lee : S’il te plait poses pas de question, Marie est la seule qui puisse m’aider donc s’il te plait… Casses toi.
Moi : (Entrant alors dans la pièce toujours vêtu de se drap) Aller Dunc laisses nous. Faut qu’il me parle alors laisse le me parler.
Dunc : Mais…
Moi : Y’a pas de mais… aller je sais pas va faire du sport prendre un café va voir Simon… Reviens dans une heure.
Dunc : Ok… Une heure c’est tout !
Lee : Merci mec…

Chap. 11 : Une nouvelle amitiée...


Il parti fâché après Lee nous laissant seuls tout les deux. J’étais curieuse de savoir se que Lee pouvais avoir de si important à me dire. Dunc, quand à lui parti voir Simon et Anthony histoire de pas rester seul. Du côté de Lee et moi l’ambiance était bizarre…

Moi : Bon on est seul qu’est-ce qui se passe ?
Lee : Ecoute je sais pas ça va pas trop là. J’ai du mal à digéré se que ta copine m’a dit.
Moi : C'est-à-dire ?
Lee : Euh… Tu penses pas on est mieux la bas pour discuté ? (Me montrant le divan dans la chambre)
Moi : Oui si tu veux…
Nous nous sommes dirigé tout les deux vers le divan je devais faire attention à mon drap qui me servais de vêtement.
Lee : Hier après le concert elle m’a avoué qu’elle avait un copain chez vous…
Moi : Et ?
Lee : Et… j’ai trop l’impression d’avoir été prit pour un con. Mince d’habitude c’est moi qui fais des coups comme ça.
Moi : Ben pour une fois… (Comprenant se que G pouvait ressentir mais aussi la réaction de Lee.)
Lee : Ouais… mais mince d’où il sort se gars… ça fait trois jours qu’on se connaît jamais j’ai entendu parler d’un mec.
Moi : Oui ben c’est peu être qu’il n’y à rien à dire sur lui…
Lee : Comment ça ?
Moi : Se type… enfin sans commentaires ! Je peux pas le voir et si tu m’en débarrasser (en rigolant) je serais super heureuse.
Lee : Eh… tu proposes quoi ?
Moi : Rien… mais G tu éprouves quelques choses pour elle ?
Lee : Je sais pas si c’est de l’amour, mais quand elle m’a dit ça je me suis sentis trahis. C’était horrible.
Moi : Ok pour moi t’as carte blanche alors… fait se qui est nécessaire.

Lee avait retrouvé le sourire cela faisait plaisir à voir. Duncan quant à lui est arrivé chez Anthony et Simon qui avaient décidé eux de se détendre à la salle de gym de l’hôtel.

Dunc : Salut les gars…
Anth et Simon: Hey mec…
Simon : alors raconte t’as fais quoi hier soir je croyais on devait renter ensemble, finalement c nous qui avons du trouver un truc pour renter avec Marie, c’est passé quoi ?
Dunc : Oui c’est vrai je suis désolé, mais c’est bon c’est arrangé… même bien arrangé c’est une histoire qui roule.
Anthony : Ouah qu’est-ce qui se passe ?
Dunc : Oh rien t’inquiète t’as déjà connu ça moi je l’es aussi connu et la je compte pas lâcher se que j’ai trouver.
Simon : Vous pouvez arrêter de parler sans que personnes comprenne rien ?
Dunc : On parle d’amour…
Simon : D’amour… alors c’est bon ?
Dunc : Ouais et dans tout les sens du terme…
Anthony : ben dis donc… si c’est aussi génial que ça qu’est-ce que tu fou ici avec nous ?
Dunc : Se que je fou là ??? Je me le demande, enfin non je sais. C’est à cause de Lee.
Simon et Anthony : ????
Dunc : Oui se petit con… est arrivé se matin tout malheureux et il voulait parler seul avec Marie. Et le pauvre Dunc… qui s’apprêtait juste à remettre le couvert ben il à dû s’en aller.
Simon : Oh merde…
Dunc : Je te le fais pas dire, ça à tout casser. Trop les nerfs.
Anthony : Se n’est que partie remise…
Dunc : Oui je lui laisse encore 20 minutes et après je le tire par la peau du cul ! (Qui était mort de rire et s’entendant parler)

Tout les trois était trop mort de rire, se demandant pourtant se que Lee pouvait avoir de si important à me dire. G elle seule dan sa chambre espérait que Lee veuille bien lui pardonner, et ne savais pas quoi faire en se qui concerne son copain qui se trouvait en France. Du côté de Lee et moi nous étions toujours sur le divan quand soudain je me suis lever, mal d’être si peu confortablement installé et je me suis mise assise au milieu du lit. Lee me suivit et s’installa aussi face à moi…

Moi : Qu’est-ce que tu fais ?
Lee : J’ai envie d’être avec toi… je crois que t’es la seule qui comprenne…
Moi : Oui mais pas trop prêt !
Lee : Question !
Moi : Oui…
Lee : C’est ici que Dunc et toi vous…
Moi : Mais de quoi tu parles ???
Lee : Arrête tu comprends parfaitement, fais pas celle qui comprend pas !
Moi : Ok, oui c’est bien ici que Dunc et moi on à fait l’amour… tu vois un autre lit dans la chambre toi ?
Lee : Oh merde, je suis assis sur le territoire de mon pote.
Moi : Eh oui…

On éclata tout les deux de rire, c’était dit d’une telle façon que forcément c’était drôle. Sur ces éclats de rires Lee me prit dans ces bras et me serra fort une grande complicité naissait entre nous. C’est à se moment là que Duncan arriva, Il vit que c’était un moment très fort qui se déroulait entre Lee et moi et d’un ton un peu gêner dit :

Dunc : Euh, je ne vous dérange pas trop ?
Moi : Non pas du tout entre, c’est bon Lee n’a plus de chagrin… ben on à tord de dire que c’est les filles les plus sensibles.
Lee : Pourquoi tu dis ça ?

Je me suis alors lever tenant toujours mon drap autour de moi, et je suis aller près de Duncan.

Moi : Ben peut-être que c’est parce que tu as prouvé aujourd’hui que tu est aussi sensibles que beaucoup d’entres nous.
Dunc : (Me prenant dans ces bras) Cherches pas elle à toujours raison.
Lee : Oui ben je dirais pas le contraire, (se dirigeant vers Dunc) au fait mec, c’est une fille géniale là laisse pas filer !
Dunc : T’inquiète pas c’est pas au programme !
Moi : Non mais oh je suis dans la pièce faites pas comme si j’étais pas là.
Dunc : Excuse nous. Mais tu n’as pas encore pu t’habiller ? Je croyais se genre de tenu m’es réservé ?
Moi : Ben désolé, y’avait urgence.
Dunc : Ben c’est bien parce que c’est mon pote que je dis rien, mais te ballade pas trop comme ça je vais être jaloux.
Lee : Y’a pas de quoi…

Lee sortit de la chambre nous laissant nouveau tout seul Dunc et Moi, je me sentais un peu tendue à l’idée de devoir bientôt repartir, nous avions passé plus de temps à nous querellé qu’à nous aimé c’était triste et nous ne savions pas comment la suite de notre histoire allé se passé. Lee quant à lui arpentait les couloirs à la recherche de Géraldine, il désespérait de la trouver pour pouvoir lui expliquait se qu’il avait ressentit quand elle lui avait fait son aveux et mettre tout à plat avant notre départ. Pour la première fois de sa vie, Lee avait des remords du comportement qu’il avait eu dans le passé avec les filles. Anthony et Simon eux laissé faire la vie, et je penses que cela n’était pas la pire des solution. Les heures passées j’avais encore passé une magnifique journée en compagnie de Duncan, j’étais à la fois heureuse et malheureuse que tout se passe si bien. Lee et G ont fini par tout mettre à neuf entre eux et avaient décidé de tout oublié de se qui avait pu se passé… pour laissé place à une belle histoire d’amitié (choses presque insurmontable pour Lee), mais G avait déjà en tête qu’à son retour en France elle devrait faire le point sur sa relation avec son copain car à cause de celle-ci Lee et elle n’avaient pas pu vivre leur histoire comme il l’entendaient. G était décidé à tout faire pour revoir Lee, et Lee de son côté n’était pas prêt à baisser les bras mais comment croire un charmeur comme lui ?[/b]

j'adore!
c'est super!
la suite!!

Merci c'est gentille... faut pas esiter si t'as des choses à dire peu etre qu'on peu modifier des trucs.. c à vous aussi de me dire et m'aider.

ya rien a dire! ta fic je l'aime comme elle est!

[ ok comme tu veux alors fais moi plaisir et continue de la lire... comme ca tu me diras au fur et à mesure.

Chap. 12 : Retour vers la France

Voilà le moment du départ était arrivé, c’était horrible j’avais l’impression que mon cœur aller se déchiré en deux. Je devais être forte ne pas pleurer ne pas montrer ma peine, j’aurais se droit une fois que je serais seule loin de lui loin de tout. Aller Marie un petit effort…
Les garçons sont restés avec nous jusqu’à se que le taxi n’arrive pour nous prendre et nous emmener à l’aéroport. Ont c’est embrasé prit dans les bras, mais pas une larmes n’a coulé c’est la promesse qu’on c’était faite. Juste avant de rentré dans le taxi Dunc m’a un prit à part.

Dunc : C’est a regret que je te laisses partir… promets moi de pas m’oublier !
Moi : Non je ne pourrais pas t’oublier, fais juste de même pour moi…
Dunc : je t’appelle demain matin pour savoir si vous êtes bien arrivés, et je vais voir pour que l’on puisse faire un tour du côté de la France au plus vite !
Moi : Oui… mais je veux pas que ça vous embête ça va mettre la pagaille dans votre planning.
Dunc : (Posant un doigt sur ma bouche pour me faire signe de me taire) Mais non, soit pas ridicule.

Une dernière fois il m’a embrassé et je suis rentré dans le taxi le cœur gros. Juste au moment ou le chauffeur allait démarrer Dunc est revenu devant le taxi c’est penché pour pouvoir me voir et à approcher sa tête de la vitre…

Dunc : (La tête collée à la vitre) JE T’AIME
Moi : Moi aussi

Le taxi démarra, et nous étions parti toute les deux Avec le sentiment que jamais ont ne se reverrait. Lee et Dunc étaient toujours devant l’auberge ou le taxi était venu nous chercher, le regard triste, ayant juste le courage d’échanger quelques mots :

Lee : Allé mec soit pas triste ont les reverra
Dunc : Elle me manque déjà…
Lee : A moi aussi.
Dunc : Et avec G ?
Lee : Euh… ben elle m’a avoué avoir un copain, mais j’ai comme une intuition que ça ne durera pas. Et je vais tout faire pour que se soit le cas… cette fille elle à un truc en plus.
Dunc : Oui, Marie aussi ! Je peux pas l’expliquer mais d’habitude je suis pas attiré vers se genre de fille… mais elle c différent.
Lee : Aller mec, on y va on va pas rester planté là comme des cons. Ont à des négociations à faire…
Dunc : ouais t’as raison, ont va faire en sorte de développer un peu le marché français.

Dans l’avion du retour, G et moi n’étions pas très à l’aise pas trop envie de parler non plus pourtant… G qui voyait que j’étais au bord des larmes en regardant par le hublot de l’avion me dit :

G : (Me prenant la main) Ca va Marie ?
Moi : Oui, oui ça va ! Juste un peu le cafard là…
G : Aller soit pas comme ça, ont va faire pleins de choses pour se changer les idées.
Moi : Oui, sans doutes mais c’est différent j’ai l’impression d’avoir laissé une partie de moi là-bas.
G : Oui je te comprends, j’ai l’impression que ça à bien marcher les derniers jours avec Dunc ?
Moi : Oui mieux que ça, c’était génial. Mais et toi et Lee ?
G : Ben rien, je lui es dis pour Bob il l’a pas trop bien prit au début puis il à comprit. Et puis je pense que cette histoire avec Lee m’a fait comprendre que je passais à côté de trop de choses en restant avec Bob.
Moi : Donc ?
G : Donc, il y à des choses qui vont changer ! Et je compte être célibataire la prochaine fois que Lee viendra.
Moi : Ok, Ben je dirais que c’est plutôt une bonne nouvelle. (En souriant)
G : Oui je pense bien, je sais que toi et Bob ce n’est pas le grand amour.
Moi : C’est pas moi qui couches avec lui, et de toute façon je n’aurais jamais fais ça avec lui.
G : Arrêtes avec ça, je connais ton point de vu.
Moi : Je sais…

Nous en avons arrêter avec ça et en avons profiter pour se reposer un peu. J’arrêtais pas de pensais à Duncan pour ne pas oublier le moindre détails de son visage et du reste de lui-même. Géraldine réfléchissait intérieurement à se qu’elle pourrait dire à Bob à son retour. Elle en avait déjà une petite idée et ne comptait pas y aller par quatre chemins. J’avais l’impression qu’en fermant les yeux je pouvais encore sentir l’odeur de Duncan, c’était trop agréable. Les deux heures d’avion étaient sur le point de se terminer, nous étions bientôt à nouveau sur nos terres il était tôt le matin nous avions voyagé de nuit, encore quelques kilomètres et nous étions chez nous dans nos lits loin des personnes qui comptaient tant dans nos cœurs. Nous voilà arrivé chacune chez nous, dans quelques heures reprenait le travail, ce sera un bon moyen de pensé à autre chose d’oublier la semaine passé. Mais devais-je vraiment l’oublier ?

Chap. 13 : Le temps passe... les blessurs restes.

Le temps passait, quelques coups de fils de Dunc mais rien ne me le ramenait. Les jours les semaines passaient j’étais désespérais mais pourtant je faisais face je tenais bon. Puis pour ne pas me faire de mal les nouvelles sont devenues de plus en plus rares. Géraldine quant à elle recevait souvent des nouvelles de Lee et de Dunc par la même occasion, Lee lui avait expliquer que Dunc avait préférait prendre du recul pour me laisser une chance de trouver mon bonheur avec quelqu’un d’autre mais que les choses étaient aussi dur pour lui qu’elle ne l’était pour moi. Géraldine avait demandé conseil à Lee pour trouver une idée pour me changer les idées, car j’étais en train de sombrer vers une grosse déprime. Plus rien n’avait d’importance pour moi. Lee proposa à G de me faire passer un week-end inoubliable, détente de façon à se que j’oublie tout mes soucis. Je n’étais pas super chaude mais bon pour faire plaisir à G je me suis dis pourquoi pas. Puis une invitation à un anniversaire tomba, c’était l’occasion de voir plein de monde que je n’avais pas vu depuis longtemps. Même si Géraldine n’aimait pas trop les gens qui participaient à cette fête elle à fait l’effort de venir pour que moi aussi j’y aille. Je ne pensais pas m’amuser autant mais une fois dans le bain j’avais presque oublier tout mes malheurs sauf quand on parlaient d’histoires de cœur cela me faisait retomber dans la réalité. Puis Nicolas un copain que je n’avais pas vu depuis quelques mois est arrivé et la j’ai vraiment sentis que ça aller mieux. J’avais retrouvé le sourire, il s’avait se qu’il fallait faire pour me faire sourire, les choses à dire pour me réconforter un vrai ami. L’alcool avait aussi fait son petit chemin en moi, je n’étais vraiment plus en état de prendre le volant, j’étais limite joyeuse. Ce la faisait un moment que je ne m’étais pas amusé comme ça, je crois en fait depuis mon retour de Londres. L’heures été venu de partir pour aller en boite histoire de continuer à fêter dignement cet anniversaire. Je suis vite fait monter chez Claire pour me changer mettre une tenue un peu plus habillée. Pendant se temps G reçu un coup de fil de Lee.


G : Allo
Lee : Oui c’est moi, ça va ?
G : Euh, oui mais bon j’ai pas trop le temps de parler là !
Lee : Pourquoi ?
G : Je suis à un anniversaire avec Marie et ont va pas tarder à partir en boite.
Lee : Ben ça va mieux alors ?
G : Euh, ben on va dire oui. Mais je crois ça doit être l’alcool qui la rendu plus joyeuse. Tu m’as dis de la sortir c’est se que j’ai fais.
Lee : Ok ben, alors j’ai une nouvelle pour toi !
G : Quoi ?
Lee : Ont prend l’avion dans une heure pour venir chez vous !
G : Pardon !!!
Lee : Je suis sérieux, c’est décidé ont arrive vers 01 heure.
G : Laisse tomber, si c’est pour venir repartir demain pas la peine, maintenant que Marie va un peu mieux.
Lee : Non laisses moi faire, ont arrivent ! Ont repart dimanche soir. Et ensuite j’ai une petite surprise.
G : Je n’aime pas les surprises.
Lee : Ben tu s’auras rien ! Mais ne dis rien à Marie. Dunc lui ne tient plus en place !
G : Non je lui dis rien, mais je ne suis pas sûr qu’elle soit très contente de vous voir.
Lee : Pourquoi ?
G : Parce que ça fait trop longtemps qu’elle n’a pas de nouvelles. Elle a fait une grosse déprime.
Lee : Je sais mais les choses vont changer…
G : Comment ?
Lee : Je t’expliquerais plus tard ! Et toi les choses ont changé de ton côté ?
G : Comment ça…
Lee : Ont en parlera plus tard…
G : Oui c’est ça !
Lee : Avant de raccrocher, donnes moi le nom de la boite ou vous allez ! Sinon ont pourra pas vous retrouvé.
G : Hum, « Le Colysée » Je vais trop me faire tuer si Marie apprend que je suis dans le coup.
Lee : Mais non je te protégerais. En plus moi j’ai trop hâte de la revoir, je l’adore ton amie.
G : Moi aussi, et je déteste Dunc
Lee : Pourquoi…
G : Pour tout le mal qu’il lui à fait.
Lee : Faut pas lui en vouloir, il c’est lui-même fait du mal. Espérerons qu’il va réussir à réparer, je l’es prévenu je lui casse la gueule si elle lui pardonne pas.
G : Bon faut je te laisses, les autres arrivent.
Lee : Les autres ?
G : Oui Marie, Nicolas, Olivier, Seb, Claire et les autres.
Lee : Putain c’est qui tout ces mecs.
G : Des copains à Marie !
Lee : Veille à se que personne lui tourne autour…
G : Non… Allez Salut

Puis G raccrocha. Fit comme si de rien n’était, et s’installa au volant pour prendre la route en direction de la boite. Le chemin fut joyeux, sur place nous avons rejoint d’autres potes qui été déjà sur place. Ca y’es ont y est, l’ambiance est génial tout pour passer une bonne soirée. Et cash sur la piste de danse il était prêt de minuit et demi quand nous sommes arrivé, j’avais trop envie de me défouler. Un jean moulant taille basse, un haut dos nu et une paire de sandales à talons et le tour été joué. Tout le petit groupe dansait au même endroit plus ou moins séré les uns sur les autres. Comment j’avais fais pour vivre toutes ces dernières semaines enfermé sans voir mes amis je me sentais si bien là. G le voyait bien et ça lui faisait bien plaisir elle en avait même des remords de savoir que Dunc allait bientôt arrivé. Elle avait bien envie de venir me voir et de tout me dire mais comment et puis il était trop tard pour les empêcher de venir. Et comment est-ce que Dunc allait réagir en me voyant entouré de la sorte… là n’était sans doute pas le problème. L’heure tournait, nous sommes allé boire un verre tous autour du bar et toujours dans la bonne humeur. Du côté de Dunc et Lee ils arrivaient enfin à destination. Le chauffeur les avaient emmener jusqu’à la boite et ils avaient réussi à entré dans celle-ci sans que trop de monde les voient.

Lee : Et maintenant ont est là, qu’est-ce qu’on fait ?
Dunc : Euh, bonne question mec ! Ont va voir si ont peu monter sur scène pour chanter un truc.
Lee : Hum, ouais mais bon va trop avoir foule dans le style incognito… y’a mieux non ?
Dunc : C’est vrai. Mais comment alors ?

G passa justement devant eux quand elle voulu aller au toilette et reconnu la voix de Lee, elle se dirigea vers eux.

G : Et mais qu’est-ce que vous faîtes là ?
Lee : Je t’es prévenu pourtant avant…
Dunc : Oui moi aussi je suis content de te voir G…
G : Euh oui tu m’as prévenu mais bon je pensais c’est une blague moi. (Regardant Dunc) Pour qui tu te prends toi ?
Dunc : Oh du calme Mlle ! Je sais que j’ai déconné avec Marie mais ce n’était pas volontaire.
G : Oui, ben moi je suis pas sur qu’elle te pardonne, et je pourrait pas lui en vouloir. Je t’es toujours soutenu mais là sérieux…
Lee : STOP… Du calme. L’urgence là c’est de trouver un moyen d’aller voir Marie. Lui faire une surprise.
G : Entrez en chantant !
Dunc : Tu vois elle penses comme moi !
Lee : Ouais…mais mec j’aime mes fans mais bon je veux pas passer le reste de la soirée à signer des autographes.
G : Même pas à moi ?
Lee : A toi si mais en privé. Bon ok ça marche ! Mais faut un plan là.
G : Je vais prévenir les DJ et un serveur viendra vous cherchez quand c’est ok. Ensuite c’est à Dunc de faire son show.
Lee : Et moi ?
G : Toi, ben tu fais se que tu veux y’a assez de filles dans la salle.
Lee : oh la joue pas comme ça.
G : Aller j’y vais.

G parti prévenir le Dj qui au début pensait qu’elle se moquait de lui, car le groupe Blue n’était pas vraiment trop le genre de la boite. Finalement il tenta le coup. G revint vers nous et continua à danser avec nous, j’étais loin de me doutais de se qu’elle préparer. 2 heures trente les premiers signes de fatigue se faisaient sentir dur, dur. Les slows sont arrivés et j’ai dansé avec Olivier qui était l’un de mes meilleurs amis. Première danse, puis une deuxième sans problème, la piste de danse était moins remplie qu’avant et pour cause tout le monde ne dansaient pas de slow, en général moi non plus mais cette nuit je ne sais pourquoi j’avais pas envie de dire non. La musique s’arrêta et une voix qui m’était familière retenti dans la salle je regardais partout autour de moi mais je ne voyais rien, je cherchais G du regard pour essayer de comprendre mais elle non plus je ne la trouvait pas. Les lumières dans la salle se faisaient de plus en plus sombres ont avaient du mal à distingués les personnes je m’accrochais à Olivier avec qui j’étais toujours. Je lui faisais comprendre que je voulais quitter la piste de danse, il se retourna donc pour partir en me tenant la main pour m’emmener avec lui quand de l’autre côté je sentais que quelqu’un me tirait aussi le bras. Je ne pouvais pas voir son visage j’avais trop de mal… même si j’avais du mal à comprendre toute les paroles de la chanson j’avais l’impression d’avoir déjà vécu ça. La voix était de plus en plus proche de moi, et pour cause je pouvais sentir le souffle de la personne qui chantait sur moi. Une lumière éclaira son visage, c’était Duncan. Mon sang ne fit qu’un tour, aussi jolie que fut cette chanson (Love RIP) je poussais Olivier et fit en sorte que Duncan me lâche lui aussi. Je suis parti en courant vers la sortie, j’essayais de reprendre mes esprits, je suis aller aux toilettes pourquoi lui, pourquoi ici pourquoi maintenant que je réussissais enfin à l’oublier ? Après quelques minutes je suis sorti des toilettes à la sortie m’attendait Lee. Il me prit le bras m’emmena un peu à l’écart, et me serra fort dans ces bras.

Lee : Oh, comme tu m’as manquer toi.
Moi : Euh, oui moi aussi. Mais jamais vous n’auriez dû être là !
Lee : Pourquoi ?
Moi : Parce que vous n’avez rien à faire là ! Je ne veux plus le voir.
Lee : Mais tu l’aimes.
Moi : Mais j’ai eu mal… Très mal !
Lee : Je sais lui aussi…
Moi : Pourquoi ?
Lee : Pourquoi quoi ?
Moi : Pourquoi a –t-il eu mal ?
Lee : De t’avoir laisser partir de ne plus t’avoir contacter, d’avoir décidé de te laisser faire ta vie sans lui.
Moi : Et c’est pour ça qu’il est là ?
Lee : Oui, parce que il n’y arrive pas !
Moi : Moi comme tu vois j’y arrive…
Lee : Je suis sur du contraire…
Moi : Pourtant tu te trompes.
Lee : Je me trompes pas sur se genre de choses.

Je baissais les yeux, Duncan était juste derrière. La music avait reprit dans la salle. Dunc fit signe à Lee de nous laisser, il le fit de suite. Je voulais moi aussi partir, je n’avais pas les forces de rester face à lui comme ça. C’était trop douloureux.

Dunc : Je suis désolé…
Moi : Moi pas, je voudrais tant que tu souffre autant que j’ai souffert.
Dunc : Moi aussi j’ai soufferts ne t’en inquiète pas. Mais je comprends que tu sois fâchée.
Moi : Fâché, non je ne le suis pas. Je m’en veux à moi-même.
Dunc : Pourquoi ?
Moi : De t’avoir laisser faire. D’être tomber amoureuse de toi !
Dunc : Il Ne Faut pas. (Il s’approcha de moi, me prit dans ces bras et dit à mon oreille) Je t’aimes comme jamais.
Moi : Non arrête avec ça. (Puis je l’es repoussé) Je ne t’es jamais dis que je voulais refaire ma vie sans toi…
Dunc : Je sais mais je pensais que c’était mieux t’es jeune, tu peux encore faire pleins de rencontres. Mais je ne peux pas et je ne veux pas.
Moi : Quoi tu ne veux pas ?
Dunc : Je ne veux pas te savoir avec un autre, je veux que se soit avec moi et pas sans moi. Regardes (Il sortit sa chaîne de sous sa chemise et montra qu’il portait toujours mon demi cœur avec mon nom marqué dessus)
Moi : Pourquoi ?
Dunc : Parce que je t’es pas oublier. Et que ton cœur est toujours la pour réchauffer le mien quand ça va pas.
Moi : (En baissant les yeux) Moi non plus je ne t’es pas oublier.
Dunc : (Me reprenant dans ces bras) oh que c’est bon de te sentir si prêt de moi.
Moi : Pour moi c’est pareille.
Dunc : Ne me quitte plus.

Je ne répondis pas, je n’avais plus envie qu’on se fasse des promesses, les dernières ne nous ont pas réussis. Ces retrouvailles ont durés une éternité à mes yeux, j’étais tellement bien que rien n’avait d’importance. Nous sommes ensuite allé rejoindre les autres, Lee, G et tout le reste de mes amis qui étaient à cet anniversaire. Dunc ne savait pas trop ou se mettre, l’afflux de questions n’à pas tarder à se faire sentir, mais nous avons quand même bien continué la soirée. Lee, voulait parler avec Géraldine mais ne savais pas si c’était le bon moment il tenta tout de même il prit Géraldine par la main et l’emmena vers un coin sans trop de bruit et de monde.

Lee : Tu vois pour eux ça à marcher.
G : Oui ben il à intérêt à bien se tenir maintenant ton copain.
Lee : J’en doutes pas… mais maintenant si ont parlaient de nous ?
G : Ah Parce qu’il y à un nous ?
Lee : Arrête tu sais très bien de quoi je parles. T’en es ou avec ton copain ?
G : Euh… comment je vais dire ça ? J’ai plus de copain…
Lee : C’est vrai ? Pourquoi tu ne me l’as jamais dis au téléphone ?
G : Je n’y voyais pas l’intérêt.
Lee : Moi je le vois, t’es libre moi aussi. Alors ont peu commencer notre histoire qui aurait déjà pu commencer y’a quelques semaines.
G : Je ne sais pas…
Lee : Pourquoi ?
G : Je veux pas passé ma vie à t’attendre, et puis tu sais pour être fan du groupe je connais un peu ton histoire. Ton passé et ton présent de coureur de jupons.
Lee : J’ai changé…
G : Je ne sais pas… Si ont y allait doucement ?
Lee : Oui mais pas trop quand même !
G : T’es trop con mais je t’adore…

Un deuxième couple naissait.

Moi, je te dis, plus vite ils seront ensemble ses deux la, mieux ça sera!!lol
Bon, je sais que la suite est en stock (37 chapitres lol) alors, maintenant que j'ai fini, tu peux mettre la suite!! lol

Chap. 14 : Jalousie...

Les retrouvailles se sont super bien passés, il nous restaient un peu moins d’une heure à passé en boite. J’avais très envie d’être seule avec Dunc mais j’avais aussi envie de finir la soirée avec mes amis (es). Finalement nous sommes restés tous jusqu’à se que la soirée fut fini. Je me suis un peu éloigné de Dunc et je me suis mis seule dans un coin avec mes copines qui elles aussi étaient curieuses de se qui c’était passé.

Claire : Alors c’est qui lui ?
Moi : Euh… sans commentaires
G : Ben son copain !
Claire : Ah ok, c’est à cause de lui que tu étais si triste ces dernier temps ?
Moi : Euh, oui en quelques sortes.
G : Non, pas en quelques sortes, c’est à cause de lui.
Claire : Ouah t’as l’air, de ne pas le porter dans ton cœur toi ?
G : Euh, ben c'est-à-dire que je l’aime bien… mais bon j’ai vu la peine qu’il à fait à Marie et ça m’a pas donner envie de le prendre dans mes bras.
Claire : Un peu comme Marie était avec Olivier pourtant sont super potes maintenant.
Moi : Eh oui les choses changent les filles.
Claire : Oui en plus t’aurais pus tomber sur pire que ça… il est vraiment canon.
Moi : Je sais mais…
Claire : Mais quoi ?
Moi : Mais il est de nouveau la pour deux jours et après je vais nouveau pas le voir pendant des semaines donc tu vois, je sais pas si c’est une bonne idée.
G : Ouais et ont peut pas lui reprocher d’avoir peur.
Claire : Non c’est sur…
Moi : Bon aller ont arrête là, sinon je vais vraiment avoir le cafard.

Nous sommes à nouveau toutes trois retourné vers les autres pendant se temps Dunc et Lee avaient eu le temps de faire connaissance avec nos potes. J’étais surprise que tout le monde s’entende si bien. Toute la bande de mec assit avec une bouteille à table, assez surprenant mais bon. Ont allaient pas les dérangeaient nous ont est allé refaire un tour sur la piste. Aller encore quelques pas, la soirée touchait à sa fin… bouh déjà. Un dernier slow, je voulais partir de la piste de danse et Seb est venu me demander, donc je suis resté et j’ai commencé à danser avec lui.

Seb : Ca ne te dérange pas trop de danser avec moi ?
Moi : Non pas du tout, pourquoi est-ce que ça devrais ?
Seb : Je sais pas ont c’est pas beaucoup parlé durant toute la soirée.
Moi : Oui c’est vrai excuses.

Lee arriva, et nous vit enlacé Seb et moi il n’y avait rien de méchant. Mais Lee lui ne voyait pas les choses comme ça. Il se mit derrière Seb et lui tapa sur l’épaule.

Lee : Excuses mec, mais étant donné que c’est la nana de mon pote… je crois que c’est moi qui vais danser avec elle.
Seb : Euh excuses, mais je penses que c’est à elle de décidé pas à toi.
Moi : Ouais Lee mais arrête ta parano, ça va.
Lee : Non ça ne va pas, j’ai envie de danser avec toi !
Moi : Ben écoute tu reste la tu joue les gardes du corps et dès que la chanson est fini, tu danse avec moi.
Lee : Moui.

Il resta donc à proximité de la piste jusqu’à se que la chanson soit fini, et vint directement prendre possession de moi quand les premières notes de la chanson suivantes commencèrent à se faire entendre. Il se mit face à moi, et me prit la main très galamment pour me faire tourner et danser.

Lee : Désolé de mon comportement mais je défends le territoire de mon pote.
Moi : Pardon, mais y’a rien à défendre. Et puis Dunc est assez grand pour savoir se qu’il à a faire ou non.
Lee : Oui mais enfin t’as bien compris se que je voulais dire ?
Moi : Non pas vraiment, mince putain laisses moi respirer je dansais avec un pote rien de plus rien de moins.
Lee : Oui, eh calme toi mademoiselle. Maintenant tu danse avec moi un autre de tes potes.
Moi : Pas pareil… Seb ça fait pas longtemps que je le connais et j’aimerais bien apprendre à le connaître.
Lee : NON, raison de plus pour que tu danses avec moi faut pas tu apprenne à le connaître. Sinon il va vouloir prendre la place de Dunc.
Moi : Lee tu racontes n’importe quoi.
Lee : Je sais c’est pour ça que tu m’aimes ! lol
Moi : Pardon, mais encore pire qu’avant je t’aime pas… Gamin
Lee : Y’a que Dunc qui as le droit de m’appeler comme ça.
Moi : Non moi aussi, parce que je fais se que je veux.
Lee : Ouais bon comme tu veux !

La chanson était finie, Lee et moi avons rejoint les autres. La soirée était fini, tout le monde était en train de se préparer à rentré chez eux, tout le monde était bien fatigué moi y comprit. J’avais hâte d’arriver dans mon lit, de poser ma tête sur mon oreiller et de fermer les yeux. G était à côté de moi aussi épuisé que je ne l’étais.

Moi : G je veux dormir je veux mon lit !
G : Mais oui, moi aussi je veux dormir, mais ton lit tu oublies. Tu dors chez moi souviens toi.
Moi : Oh, oui ! Mince je suis si fatiguée, je pense plus à rien.
G : Ce n’est pas bien grave ! Et les deux autres là ils dorment où ?
Moi : Aucunes idées. Ont en a pas parlé.
G : C’est vrai Lee et moi non plus.
Moi : Je sais même pas pour combien de temps ils sont là.
G : Jusqu’à dimanche soir comme j’ai compris. Mais soi-disant ils ont une surprise pour nous.
Moi : Perso, j’aime pas les surprises.
G : Moi non plus !
Moi : Ca règle pas le problème, ils dorment où ? Chez toi c’est pas possible ta mère va crisé si elle voit deux mecs dans ta chambre.
G : Oui c’est vrai mais vu l’heure qu’il est je sais pas c’est un peu chaud pour leur trouver un hôtel.
Moi : Ben ils avaient qu’à prévoir… lol
G : T’es méchante, ils ont fait tout se chemin et toi tu les virent.
Moi : Non je suis pas méchante juste fatiguée.
G : Oui ont va en parler avec eux et ont rentrent promis !
Moi : Merci.

Lee et Duncan sont arrivé et nous ont enlacés de leurs bras fort toutes les deux.

Lee : Bon qu’est-ce qu’on fait maintenant les filles ?
Moi : Euh… vous je sais pas mais moi je veux dormir.
Lee : Oh ne joue pas les rabat-joie.
Dunc : Laisse là si elle est fatiguée ont rentre. De toute façon t’as vu l’heure. (Il fit un clin d’œil à Lee)
Lee : Ouais ok mec pas de soucis ont rentre. Mais ont rentre où ?
G : Vous j’en sais rien mais Marie et moi, ont va chez moi elle dort à la maison et en plus c’est moi qui roule.
Lee : Parfait, ont va tous chez toi.
G : Comment ont va tous chez moi ? Euh déjà Marie et moi dans la même chambre c’est chaud, mais si en plus vous deux vous venez ! Je ne suis pas sûr que mes parents soient ok et il n’est pas une heure pour les réveiller.
Dunc : Oui, t’as raison ! J’ai une autre solution. Vous venez avec nous à l’hôtel ! Quand ont à réservé les billets d’avion ont à aussi prit des chambres.
Lee : Oui ça vous évitera de faire de la route…
G : T’en sais quoi qu’on à de la route à faire ?
Lee : Rien mais j’en suis sur.
Dunc : Alors Marie ?
Moi : Oui ?
Dunc : T’en pense quoi tu viens avec à l’hôtel. En plus t’as l’air toute épuisée.
Moi : Ben je le suis, ça va bientôt faire 24 heures que je suis debout. Euh l’hôtel ben tant qu’il y à un lit… moi ça me va.
Dunc : Ok ben alors viens.
G : Et moi ?
Lee : Ben tu viens aussi.
G : Et ma voiture ?
Lee : Ben ont prend ta voiture tout les deux et ont suit Dunc et Marie dans la voiture avec chauffeur. Ont à une voiture qui nous attend à l’hôtel à partir de demain.
G : Ouais mais c moi qui roule je te préviens.
Lee : Putain les filles font la loi dans se pays.
Dunc : La ferme !

Je suis partie au bras de Duncan, nous nous sommes installés dans la voiture est avons demandé au chauffeur de bien vouloir attendre que G et Lee soit derrière nous avec la voiture de G pour partir. Enfin ils étaient là, nous sommes partis en direction du centre ville où se trouver l’hôtel. Le trajet dura quelques minutes, longues minutes étant donné mon état de fatigue. Dunc m’avait fait promettre de ne pas m’endormir pendant le trajet. Promesse que je tenu avec beaucoup de mal. Nous y étions, nous sommes tout les deux sortis de la voiture avons remercier le chauffeur et avons attendu que Lee et G nous est rejoint. Lee était vénère d’avoir du servir de passager, y’avait pas à dire Lee était un vrai madcho. La tête baissa les yeux vers le sol on aurait cru un gamin, il arriva et se mit à côté de moi.

Lee : Putain c’est dingue cette fille peu être trop dur. A se demander si c’était vraiment la peine que je fasse tout se chemin pour elle. Marie, aides moi.
Moi : Mais... euh j’y peu rien elle est toujours comme ça un jour avec deux sans. Aller ne t’en fait pas. De toute façon vu l’heure moi je fais rien du tout je veux juste dormir. Au pire si ça t’arrange tu dors avec Dunc et je dors avec G.
Dunc : Oh stop je vous arrête tout de suite ! (Me prenant par le bras) elle, elle dort avec moi.
Lee : T’énerve pas mec, je ne comptais pas accepter.
G : (Arrivant comme un cheveu sur la soupe) Ben alors Monsieur a prit un petit coup dans son amour propre ? lol
Moi : G, tu ferais mieux de te taire des fois.
G : Pourquoi ?
Moi : Parce que t’as fais de la peine à Lee.
G : Euh… (Gênée) C’est vrai je suis désolée je savais pas. C’est l’émotion comprends moi.
Lee : Hum… Bon je veux bien faire comme si de rien n’était mais arrête un peu avec ton caractère je suis pas là pour m’embrouillé avec toi.
Moi : Quant à toi… (Regardant Dunc) Pour ta petite intervention de toute à l’heure… je te signale qu’il est 5 heures du mat’ que je suis crevé… et que quand ont monte je dors.
Dunc : (Déçu…) Je me contenterais de te serré dans mes bras… je peux ça au moins ?
Moi : (M’approchant de lui pour l’embrasser) Bien sur que … OUI !

Chap. 15 : Inquiétudes...


Nous sommes alors tous monté dans les chambres, codes secrets et tout hôtels grand standing… la class. Nous avions les chambres presque l’une à côté de l’autres. Dunc et moi dans la chambre presque pas un mot d’échanger, il sorti de sa valise un t-shirt et me dis que c’était pour moi pour cette nuit, je le remerciais. Je me changeais dans la salle de bain et Dunc dans la chambre, il resta un boxer et se mit au lit. Je suis arrivé dans la chambre, je le voyais déjà allongé comme un pacha au lit et je lui fis un sourire.

Dunc : Ben quoi ?
Moi : Rien je trouves juste que la situation est plutôt marrante.
Dunc : Ah bon ? En quoi ?
Moi : Oh, rien ! (Ouvrant la couverture et me glissant à mon tour dans le lit, m’installant au creux de son bras nos deux chairs se frôlèrent) C’est magique que tu sois là, j’ai l’impression de rêver.
Dunc : Ouais ben c’est pas se que l’on aurait cru quand tu m’a vu se soir.
Moi : Je sais mais j’étais en colère, surprise de te voir et j’avais envie de te faire payer le mal que tu m’as fais en me laissant si longtemps sans nouvelles.
Dunc : Je sais, t’as le droit de m’en vouloir. Mais tout ça c’est fini.
Moi : … J’avais tellement envie d’être dans tes bras !
Dunc : C’est bon t’y es maintenant. Et ils sont à toi à jamais.
Moi : Oh, si seulement c’était vrai.
Dunc : Ca l’es.

Il referma son bras sur moi, s’allongea mieux dans le lit et posa sa tête contre la mienne pour enfin fermer les yeux pour que nous nous endormions ainsi tout deux enlacer.
Géraldine et Lee avaient fait de même après une petite discussion pour effacer tout leurs petits soucis de la soirée ils se sont endormi tout les deux enlacer. Les heures ont tournaient, je me suis réveillé un rayons de soleil sur le visage, dos à Dunc son bras toujours autour de moi. Après quelques minutes passer comme ça dans le lit, je sursautais.

Moi : Mince il est quel heure ?

Je réveillais Dunc en le secouant un peu…

Moi : Dunc, Dunc…
Dunc : … Moui… rendors-toi je suis fatigué je veux dormir.
Moi : Oui mais il est qu’elle heure ?
Dunc : Je ne sais pas… Aller dort.
Moi : Oui

A peine quelques secondes se sont passées que Dunc était déjà repartis dans un profond sommeil. Je pris sa main et la tourna pour voir quel heure il était sur sa montre. « MERDE 12 heures », J’étais à la bourre pour aller au travail. (Eh oui un samedi y’en à qui boss) je suis sortie du lit à grande vitesse, et j’ai vite fait mis mes fringues et emprunta une chemise à Dunc car le haut que j’avais en boite n’était peu être pas l’idéal, et suis aller vite fait à la salle de bain… un coup de peigne un peu d’eau sur le visage. Aller je pouvais pas faire mieux. Mais comment m’y rendre ?
Je suis sortie de la chambre en embrassant Dunc qui dormait à point fermer. J’ai descendu les marches pour me retrouver dans le hall de l’hôtel. Je pris mon téléphone et composa le numéro de Olivier habitant en ville c’était le seul que je voyais être capable de me ramener chez moi et de m’emmener au travail pour me ramener nouveau en ville ensuite. Je composais le numéro…

Olivier : Allo
Moi : Oui… ça va ? C’est Marie !
Olivier : Oui, ça va et toi ? Je dois dire que je suis assez surpris que tu m’appel, c’est pas dans tes habitudes.
Moi : Euh, oui c’est vrai. Et quand tu va savoir pourquoi je t’appel tu va encore plus m’en vouloir.
Olivier : Ben non va y dis toujours.
Moi : Bon très bien je me lances… Ecoute je suis en ville mais je dois bosser dans moins d’une heure, je n’ai pas ma voiture… Euh c’est possible tu passe me prendre et tu me ramène chez moi ?
Olivier : Hum… Ouais. Je savais quand même pas quoi faire. Ben t’est où pour que je te récupère ?
Moi : Je t’attends sur le parking devant France3.
Olivier : Ouais ok pas de soucis je suis la dans 10 minutes. Mais faudra m’expliquer.
Moi : Oui promis à tout de suite.

Nous avons tout les deux raccrocher, et je suis sortie de l’hôtel en courant. Vite fallait j’arrive là bas avant lui pour qu’il me voit. Je faisais aussi vite que je pouvais. C’est bon j’y étais arrivé, je patientais quelques minutes et voilà Olivier était arrivé. Je suis monté dans sa voiture et nus avons de suite prit la route en direction de chez moi à environ 25 minutes de la ville. Dans la voiture Olivier me posa pleins de questions sur le pourquoi des choses, se que je faisais en ville pourquoi c’est lui que j’ai appeler…
C’est bon nous y étions. Je suis vite monter chez moi je me suis changer et Oliv, attendait patiemment que je redescende afin de me conduire au travail. Je travaillais de 13 heures à 15 heures 30 minutes… cela c’est vite et bien passé, pendant se temps Oliv, lui est aller faire un petit tour et quelques courses.
Du côté de L’hôtel… Lee et G étaient toujours enlacés en train de dormir une première nuit d’innocence pour Lee depuis bien longtemps. De son côté Dunc commençait à se réveillé, il ouvrit les yeux, s’étira et commença à passer ces bras dans le lit me cherchant. Ne me voyant pas dans le lit, il me chercha dans la salle de bain puis sur le balcon et fit ainsi toute la grande chambre… rien pas moyen de me trouver. Il enfila son jean, et sorti torse nu de la chambre pour aller frapper à la porte de la chambre de lee.

Toc, Toc, Toc (Il frappa plusieurs fois, jusqu’à se que Lee se décide enfin à ouvrir)

Lee : (Ouvrant la porte les yeux encore à moitié fermés) Oui
Dunc : (Le poussant afin d’entré dans la chambre) Désolé, mec… Mais Marie est là ?
Lee : (Se secouant la tête pour essayer de se réveillé mieux) Oui, tu vois pas ont se faisait une partie à trois.
Dunc : Putain t’a de l’humour mon gars ! Tu ne sais pas où elle est ?
Lee : Désolé mec…
Dunc : Et G ?
Lee : Elle dort et ne m’a pas quitter…
Dunc : Merde
Lee : Quoi ?
Dunc : Je me suis réveiller elle était plus là donc voilà je pensais elle est avec G et elle se racontes leurs petits trucs de filles. Et non quoi elle n’est pas là, mais alors où est-elle ?
Lee : Aucunes idées. Désolé

Dunc et Lee se mirent tout deux assis sur le divan de la chambre de Lee et réfléchissaient ensemble à où est-ce que j’ai bien pu passé. Puis après quelques instants un téléphone sonna Lee et Dunc regardèrent ce n’était pas le leurs. Il ne rester donc plus que celui de G qui dormait toujours à point fermer. Lee le prit de la table de nuit et décrocha, sans même lire sur le Tél. qui c’était.

… : Salut G, écoute faut je t’explique un truc.
Lee : Allo, c’est qui ?
… : Euh, mais c’est pas G, c’est qui ?
Lee : J’ai posé la question en premier. Mais je suis son petit ami, enfin elle appartient à qui cette jolie voie.
… : Mais t’es con où quoi toi ? C’est moi, c’est Marie ! Elle est où G ?
Lee : Marie ??? (En le disant bien fort pour que Dunc entende)
Moi : Bon je peux parler à G s’il te plais ?
Lee : Impossible elle dort encore. C’est quoi le problème ? Et t’es où là en plus ?
Moi : Le problème c’est que je veux parler avec Mon amie, et où je suis… je suis chez moi.
Lee : Chez toi ? Pourquoi ?
Moi : Oui chez moi, désolé de te le dire mais bon j’ai pas pu dormir jusqu’à 15 heures moi.
Dunc : (Prenant le téléphone des mains de Lee) Marie c’est Dunc
Moi : Oh, Mon chéri ! Bien dormis ?
Dunc : Oui merci, Mais t’est où ?
Moi : désolé je voulais pas te réveiller, j’avais oublier de te dire que je travaillais aujourd’hui, donc je suis vite fait partie à midi. Et dans max deux heures je suis nouveau là.
Dunc : Oh désolé mais je me faisais du soucis. Tu arrives quand ?
Moi : Euh ben comme dis dans maximum deux heures. Quand G est réveillé dis lui de vous emmener faire un tour en ville je vous rejoindrez là-bas.
Dunc : Ok comme ça je pourrais aller faire quelques courses.
Moi : Des courses ? Ben dit donc tu ne peux pas aller dans une ville sans acheter des trucs toi.
Dunc : Eh oui un gros défaut je sais. Je t’aime.
Moi : Moi aussi je t’aime à tout à l’heure. Oh dis à G de m’appeler quand vous partez.
Dunc : Ok pas de soucis. A plus tard.
Moi : A plus.

Nous avons raccroché. Je suis aller prendre ma douche et m’habillé pendant se temps là à l’hôtel.
Dunc et Lee étaient toujours dans la chambre, G dormait toujours et Dunc commençait à s’impatienter.

Dunc : Euh, c’est pas que je m’ennuie mais tu pourrais pas réveillé ta copine ? Parce que bon voilà j’aimerais aller faire des courses et je n’ai pas du tout envie de passer le reste de l’après-midi enfermé.
Lee : Ouais mec ont se donne rendez-vous dans 30 minutes dans le hall de l’hôtel je prends une douche et je la réveille. Et toi fais de même parce que si tu veux rejoindre ta chérie faudrait peu être que tu sois plus présentable que ça.
Dunc : T’inquiète pas pour ça, et s’il te plait ne sois pas en retard pour une fois.
Lee : Ouais, ouais.

Dunc quitta la chambre et reparti dans la sienne. Il prit une douche en pensant à se qu’il pourrait bien acheter il voulait me faire plaisir et se dit que Géraldine était la mieux placé pour savoir se qui pourrait me plaire. Quant à lui il se mit au travail afin de réveiller sa belle. Il faut le dire tout deux s’assemblait plutôt bien car lui comme elle, était né pour dormir. Lol au bout de plusieurs minutes elle se réveillé enfin, de peur de faire peur à Lee elle s’enfuit dans la salle de bain, pour se rendre plus présentable. S’habillé se maquilla et mis ces lentilles, ensuite seulement elle sorti de la salle de bain. Lee qui n’avait rien comprit au pourquoi des choses ne posa pas de questions. Et parti lui aussi s’enfermer dans la salle de bain pour se préparer déjà sur d’être en retard au rendez-vous que lui avait fixé Dunc. C’était inévitable venant de lui. 16 heures 20 à peine dis minutes de retard, un exploit pour Lee il descendit les marches en tirant Géraldine par la main afin d’arriver plus vite en bas. Voyant déjà Dunc arrivé avec ces reproches. En bas Dunc était debout, montre en main en train de calculer combien de temps cette fois ci Lee serait en retard… Les voilà.